Étude pour un livret d’opéra


Acte 1.
Pourquoi allongerions nous les conversations sans fonds et des trappes ouvertes par les voies désastreuses. Les enfants y jouent déjà souvent sans inconscience de la folie douce de la violence douce des substituts largements appreciés, des grincements puissants des roues larges des transports avec danger de mort.
Un rat croise le chemin sur lequel il ne fallait pas rester. Des élucubrations de l'abruti en chemise. Il déchire les brailles. Nous sommes l'abruti crétin qui colonise le dessus des poulaillers. Mais les cheveux resteront la matière des plus belles sculptures, de la plus populaire. Il faut faire le tri alors même que nous nous occupons de saturer les champs. De les occuper un à un. Cette colonisations. Celle-là même. Folle à nouveau après la longue catatonie. Folle, irréfléchie, irraisonnée, idiote, partageuse, reliée. Le tri sera pour plus tard. Cultivons toutes les plantes qui nous tombent sous la main, viendra la saison du tri et de la taille.
Nous pouvons enfin commencer par poser nos doigts sur les lettres en regardant par ailleurs. Nous connaissons cependant toujours le crayon, le stylo bille et le feutre. C'est l'encre qui a disparu, le stylo plume depuis longtemps sans pus. Aucun motif ne vaudra la distractions visuelle offerte par des rayures horizontales qui apaisent en même temps qu'elles rassurent de la constance de la couleur. Elles nous rappellent la nuance comme les formes des pâtes apprennent au jeune italien la subtilité du goût. Mais elles semblent sortir de nulle part, ètrangeres à elles-mêmes.
Le japonnais aurait la terre cuite.
L'anglais, les œufs.
Le français, les pains.

Pourquoi avancerions nous les échecs subits des colériques qui plutôt y soient. Les subtiles transitions des pères aux pairs nous feraient parfois revenir aux premiers lorsqu'il est trop tard pour ne le chercher ailleurs qu'en soi.
Tenez-vous et tenez-vous et tenez-vous.
Ils lancent l'avertissement avant la catastrophe mais il ne se passera rien. Rien n'arrivera. Ne vous inquiétez pas mais vous avez raison d'avoir peur.
Nos chiens attaquaient sans raison il y a peu. Ils sont maintenant allongés et guettent les souriceaux. Ils jouent de l'herbe jeune et des primevères précoces. Ils tirent les fils des dépassements. Leur langue est plus râpeuse qu'avant peignant l'air de fumée joviale.

C'est ainsi que se construisent les ires de pleutres sans mode d'emploi. Elles respirent des odeurs de chagrin brut et lèvent souvent les bras rapidement comme pour étirer les manches d'une chemise ajustée aux coudes. Le ventre gros et amoindris de ne pas enfanter, l'alcool remplit la fuite des pores nourris de végétaline. Les serviettes blanches manquent leur but souvent et des groupes d'entraînement commencent a travailler la fin du geste sans un regard aveuglément. Il faut prendre deux crayons bien taillés et les tenant au bout, tenter de joindre les 2 pointes. Les plus puissants sont ceux qui se regardent souvent dans le petit miroir rond de leur sacoche. Ils portent aussi leur sacoche sur les genoux, aiment les bijoux.
Des taches nouvelles apparaissent sur leurs pantalons en tentant de piétiner les bêtes grouillantes des trottoirs du chemin. Un chien sans dents se retourne et me regarde en baillant pour montrer ses chairs claires. Il le dit que je suis un presque, que je balance des sillons avec des chaussettes vertes.

La fille est jolie et parle sans cesse d'une poésie barbue. Elle passe des jours dans la mousse qui creuse et bang bang flip au bango accéléré. Il y a là des furies de papier. Un crayon avec un protège mine. Si elle décidait de prendre le choux du salon elle verrait que des souris sont mortes ici. Qu'il y a eu l'odeur et que nous portons maintenant des bottes.
J'en vois qui préfèrent acheter des barres métalliques aux extrémités découpées pour y mettre le feu, pour former des cercles nocturnes. On les achète par 2 pour tenter une nouvelle complicité qui ne se serait pas exprimée jusqu'alors. Les expériences se forment en compagnie des éléments des vieilles mystiques de l'interprétation. On peut donc les acheter en promotion par 2. Ça vaut le coup. Vous saurez bien vite si tout fonctionne. Mais vous ne le saurez pas. Rien à savoir rien à voir. Façonner l'interprétation des haricots andalous. Il faudra alors passer dans un creux chaud irrégulier. Des zones froides passent souvent sur les membres. Les duos se protègent en faisant des courses à pied, randonnées intensives les yeux dans les yeux. Le premier court le second est en face et recule à petites foulées. S'ils déçoivent les charognes, ils devront quitter le parc boisé.
On entend les gens qui disent écouter en diagonale. On sent les pleureuses qui touchent en diagonale.
On a découvert parfois des chaussures automarchantes. Il parrait.

Si c'est ainsi que le père se voit attribuer les pots de laine. Il se les fait bouillir sans peine tout juste aidé d'un petit feu doucereux. Il est colle, eux chaussé de cuirs brillants.
La fille me regarde souvent je la guette et tombe sur ses yeux derrière son nez près de ses cheveux. Elle pince la lèvre et plisse des commissures et porte fière le chale à motifs beiges.

Parfois ce sont des chaînes qui glissent dans les troubles des pandas affairés à leurs tiges. Le sol est coulant et les dérapages sont élégants. Ils sont longs et appuyés. Ils sont droits et fuyants. Ils sont vernis et douloureux. Ils sont dans la dent et directionnels. Ils sont noirs et déchirés. Ils sont en communion et dans le terrain.
Elle a alors aiguisé son couteau avant de l'enfoncer dans sa cuisse. Elle rie aussi des balles pour soulager des gens. C'est normal. Ça se voit souvent. Mais elle ne fait rien. Elle ne vend rien du tout. C'est indéniable. Elle serre les mains les doigts croisés. C'est trop cher et le travail n'est pas terminé. Ou tu le fais totalement ou tu le fais pas du tout.
Devenez vous-même, allez-y. Et vous verrez comme le recrutement aura gagné une adresse. La ligne bleue.

Le chien est revenu avec des peaux supplémentaires, avec un œuf nouveau. Il aurait perdu la vue dans un jeu de Colin-mayar. Il se déplace rapidement avec des coussins sans précautions. Il aime les voir en plantes aquatiques en nénuphars en d'autres bulbes assoiffés en lentilles croissantes. On aurait l'envie triste de lui dire non ça suffit. Mon monde a déjà été violé et mon grand si tu ne fais que demander à moi je tournerai tout autour et bien de toi.
C'est pourtant ce qui l'empêche de dire que demain c'est piscine. Nous partons pour toujours en moquant ce que nous faisons. En riant ce que nous avons fait.
Tu parles du feu et du silence en mettant ensemble le pain et la marche. Le vent n'est pas un accessoire.

Dans les soirées les sangs vivants caressent les corps vivaces. Des bêtes suaves les accrochent durent. Calme toi calme toi calme toi. Nous pouvons trouver des jeux nouveaux avec des dés et de vrais pions. Nos chairs hèsitent a prendre. Le mot est doux qui agite le brassard du copain. Il a son sang sur les doigts et le montre a la foule en friandise du soir. Nous nous lècherons les nôtres, plus acides mais les jambes restent longues et blanches. Déjà tu veux lapper le miel jeune d'appiculteurs saoulé des effluves.

On me souhaite un bon trajet ce qui m'émeut beaucoup dans la discussion avec le chauffeur qui te rappelle à une communauté de travail. À deux à l'heure et par bonheur elle raconte sa veudette. Si longtemps calmement, elle gigote la pâlotte. C'est honteux que les pneus ne soudoient pas les grands ils sont mous et pas fous de trouver en sa suivante. Satanée grande fillotte.

Nous marcherons quelque part depuis le ciel un peu d'au-dessus. Et ceci fera c'est cruel un peu je m'en fonds de ce que ceux tournent. On brique un peu les aires, je pense le faire aussi, avec la brosse si ça marche mieux. Si ça ne fonctionne pas il faut sortir les poils un à un et les passer sous l'eau. Il faut prendre alors le couvercle de la bouteille d'à-côté et tourner trois ou quatre fois pour faire prendre le jus dans les retours. Un congés sera indispensable a cette occasion. C'est pourquoi le petit stylo ne sert a rien. Une varloppe développe mieux les axes choisis, sélectionnés, triés et merde. Ok. On le dit quand les roses des habits, des peintures, sont eclairés de leds bleues. Et quand des oiseaux passent dans l'intervalle où tu te demandes encore ce que tu vas mettre, alors tu peux mettre une jupe. Ils sont beaux un coup sur deux. Dans le Jean d'amour qui crie aussi une fois sur deux. Le sourire c'est une fois sur quatre. Je sais que l'on m'a dit que c'était moins mais j'ai compté. On retrouve aussi des manteaux rouges sur toutes les lignes qui ont un chiffre pair. Les idoles sont des peluches.
Je me suis trompé encore une fois sur les temps d'arrêt. Je comptais autre chose de plus coloré et on m'a dit depuis en haut que rien du tout n'aidera le petit tolu qui erre depuis plus de moins de deux heures et que les colonnes tiendront moins bien que cette satanée moustache perdue dans les fondations. La porte est richement décorée et les ciseaux de la fille ne les coupaient que quand les salauds les faisaient vibrer en juin. Les monts moussus sont plus efficients sur les pratiques des autres. Je me suis trompé et ça n'entraine pas que moi. Deux de plus avant que ne sonne enfin la belle dingue des côtés. Là le son pourrais faire hésiter mais le mouvement du sol rassure sur l'enchainement des événements. Ce n'est plus si loin je le sais bien.
Le fer nous aura aidé mais pas tomy. Là.

Les petits chaussons gris ont chacun un prénom de jeune fille. Ils ont remplis leur rôle en remplissant le sac du jeudi au lundi. C'est un bon moyen de ne pas mélanger les brutes des hauts sommets sans courir le lapin. Si celui-ci se retrouve enfermé dans un seau de vin il faut l'oublier sans plus de façon. Et aussi en marmite. Au petit dejeuner, voir des films sur les champignons parasites des insectes de la forêt équatoriale, manger du saucisson et des chips aglomérats de pomme de terre, boire du crémant et de la purée de fruits rouges. Les villes sont échangeables dans les éthiques de l'enervement. N'est ce pas ? N'est ce pas ?

Le passager s'arrête et tend la porte au capitaine. Il est si groooooos et point. Donne l'objet sans sous il roule au bord des portes à coulisses. L'objet qui avait l'habitude d'y être est revenu dans ses formes de lignes laissées. Il parle de quartiers chinois et de tramway. Aussi longtemps et bien plus que je torture moi-même qui va le long. Le passager dit au passager de m'arrêter au lieu de repartir. L'objet reprend son souffle. Le passager s'enferme dans les clos. Le clos du lit l'en nuit. Il souffle fort et rapidement de la tête. Un rayon de soleil et les joins se touchent dans un son résistant. Hermétique de l'objet du passager. Du capitaine et le metteur dit que ce n'est pa comme ça. Il monte sa montre du ciel. Hah hah qui fait comme ça. Haha ha haha ha haha ha haha ha haha ha haha ha.
Et puis ça coule à nouveau du petit lac et la barque et les rames manipulées. Les canaux articulés qui jamais vivent ces jours. Aurait-il été possible de ne pas devenir un imbécile. Qui ne de transforment en champignons toujours plus complexes et grandioses. Les cerpettes ! La faux redressée ! La meuleuse et la varloppe ! J'en mange tous les étés, qui lovent sur les coquillages, des langues de bœufs qui poussent sur les troncs des chênes. Quelques estampes m'y ont aidées. Pour le sentir plus proche de toi je gling. Et quand une synphonette est quasiment achevée, les acides des peaux renifflent les huilent essentielles boudeuses à souhait. Merci en 1975. Ça se disait comment.
Juste avant ton départ je bouge les côtés d'une curieuse façon. Il faut juste essayer de payer. Ké ké ké. Tu claques les vestibules. Prises de martin. Une procédure pour les freins. Du côté de la fumée. Un angelot de bois dure.

Les colonnes approchent des couffignes frisées. Elles sont bien dorées à souhait et le vin les a lissées dans un sens curieux très proche des chiffons de l'avant veille. Les belettes sont bien
sorties aussi dans les terres qui ne sont plus vraiment fines mais qui comblent les sillons d'aérations que l'on ne compte plus que par quelques milliers. Un moment critique les a réduit à 1000 une bonne fois. Je l'apprecie pas voilà tout, il faut un peu de fraicheur, dit-elle de son haleine chargée. Elle a dit "il est incohérent dans son comportement, je lui ai dit qu'il était arrogant, mais il sait pas tout, je suis désolée." La prochaine station te fera souffrir. Il n'y a pas de compréhension possible. La mer c'est pareil. J'ai pas envie, vous allez bien?
Vous voyez?
Elle dit "tu es énervée, tu es en colère."


Acte 2.
J'ai appris qu'alors ils broutaient les cheveux. Qu'ils s'y sont retrouvés joyeux. Ils étaient un nombre de l'ordre de quelques. Les vernis des cuirs avec quelques plis bien marqués qui révèlent les infidélités de leurs crochets bouffis. Les rayures des terrains devant eux leurs donnaient une petite idée du vertige avant le saut. Les teintes de celles-ci prenaient les mélanges des agneaux en souris et des échalottes cuites avec des fleurs de violette. Les cordes sonnaient des airs réguliers binaires et répétitifs que les petits souliers tapaient souvent pour obtenir une ébriété de fête populaire. Je peux vous voir tous et je reste par là. Je le peux tout autour. Je travaille la vue périphérique depuis un stage en haute Vienne. Là, ça appelle ça ici. Hop hop hop hop hop hop hop. Ce n'est pas la même musique qui nous occupe mais nous tapons le rythme au bord des rayures. Je dis :"hé, ça m'appelle d'ici". Ils ont tous des bonnets.

Tout du cru tu l'as eu tu l'as eu la berlue de l'anus. C'est foutu de boire nu des seaux drus coulant bon flux.
Tu l'as eu tu l'as eu.
C'est en chinchila que les filles que les filles bougent du cul bougent du cul, bouffent la morue bouffent la morue.
Le sommet est aux poules des cimes de l'auberge des mariniers. Insolite la fuite vers les fils de porcs des sœurs de sa savate. La chaise est belle qui dorée et de diamantine éclairée par les phares extérieurs de l'aube permanente. Les rustres des faloppes sont aussi bien garnies dans le souffle des gorges. La terre creusée des systèmes érodés montrent des cavités loins des vierges alpines. Les mines ne sont pas si profondes. Ceux qui y cherchent les billets de vengeance prennent peu de temps pour les bourses émergées.
Un peu plus loin il y a des gens qui s'appellent Bruce.
L'un d'entre eux me dit qu'il s'appelle Quentin et que je dois le dire à quelqu'un d'autre. Il insiste lourdement et me claque la paume au départ d'un air entendu. Il est un autre Bruce c'est certain.

Les pleurs de ces enfants sont de plaintes accablantes. Je me souviens juste du mot "gérémiades". Ça ne sent pas bon ces pleurs, ils sont vicieux et forcent la violence. Ils testent les cordes pour assurer une fidélité sans doute. Mais ils sont "pousse au crime", donnent à la colère un relend subversif leur proposant la cigarette ou une brève fellation. Les sanglots ne sonnent pas les mêmes qui cruement eux aussi forcent les bras à l'entourer.

Il y a un temps avant durant lequel le corps n'y adhère pas, il lui est totalement inadapté, rien ne coïncide. Et il s'y fait car ça ne bouge pas, ça ne change pas. On y trouvera des parties spéciales. Et les passages d'un mot à une image. Pas une illustration, non. Les aînés en seront reconnus.

Je n'ai rien contre et même j'aime souvent les voir. Les nuances de brillance leur donnent tout leurs intérêts. C'est aussi cette ligne blanche entre le sol et la chaussure qui plat la forme de mouvements. C'est à terre que cela se regarde encroisés de naissance brute. Le coulement des sons irradie le sot qui s'agite binaire. On veut y passer de la tête au cul.

Il me disait de porter un veston pelé de cendres difficiles issues des patries neuves. Les cuirs des chaussures devaient être percés à chaque bout. Il me disait de balancer tout ce que je portais de gauche à droite et de bercer et de bercer. Les feuillets jaunes n'y sont pas pour grand chose alors. Des clous des clous. La ritournelle est simple. Il disait que je devais écouter 2 musiques en même temps. Que je ne pouvais pas les laisser seules. Que je devais superposer pour conquérir. Il parlait sans regarder alors sa voie s'enfuyait à rattraper papillon. Le visage sans symétrie de barbes et de mâchoires. Si ses sœurs le font aussi je me pends des clous des clous.
Un chien passant frappe les bottes jaunes en feuillets par endroits sales petits bouchons pourris. Les lèches joyeuses des dentistes cessent le formol pour mettre la marmelade. On ne les regarde pas pour que ça se passe un peu mieux. Les affutés cirent les bouts des pointures. C'est une tentative de réduction de la sexualité. Une indecision précise sur les fondements des harmonies.

Frisant la bure, ils couinent venchards. Les ventres outrant les muscles des salaisons passées. Un rat méchant court les longs des allées et je me penche baissant la fouine drue qui hèle l'oraison nue. Je prétexte les cimes pour retrouver les baux. Une froide malheureuse truite enneigée de pluie se terre des prés en de petites bosses terreau. Ecrasés les fils nœuds. Je m'en prends à la chaise. Je reconnais les marques crasses salées de ce bateau. Il est passé en feuilles-ci. Ta ta ta ta ta. De la delà ici des des dés. Sans ça je persévère. Je persévère. Je persévère. Je persévère. C'est bien pour ça. C'est bien pour ça. C'est bien pour ça. C'est bien pour ça. Il le faut il le faut il le faut il le faut il le faut retourner retourner retourner retourner c'est de la cosmétique c'est de la cosmétique c'est de la cosmétique c'est de la cosmétique les pieds l'échappent les pieds l'échappent les pieds les pieds les pieds les pieds je m'arrête je m'arrête je m'arrête.

Les culottes des barons de fers dorés se dotent. Ils chutent des eaux fragiles attirés des scéants. Il faut se demander si nous ne pouvons pas tromper la grande supercherie fumisterie par un retournement en bonne et dûe forme. Prendre les données rationnelles les transformer en fantaisie intuite et les donner au regard clairvoyant. Les chants de l'oiseau en disent plus long sur les sœurs jumelles qui m'appelaient il y a peu. Les sons de purée entre les yeux bouffis de toiles qui jettent aux œufs un peu de sympathie.
Militants apprivoisés que faites vous des cages à poules ? Des toiles enfantes aux 3 dimensions actives ? Jetter les lits des ours sans façons et frappez les glaces pour glisser en plaques. Les petites courses qui accélèrent les pulsassions des cœurs naïfs.

Les oiseaux ont couru dans les pièces émiettées. Ils étaient en habits et chantant la siffleuse durée. Les noirs et jaunes en consommaient bien plus que les autres. J'ai entendu des enfants plaintifs de plantes filandreuses. Les routiers ont du en rester là, les écritures commerciales déconcertantes depuis les plans surélevés étaient proposés depuis de bons points de vue. Je me suis approché des grains jeunes comme des harpes de jardin de printemps. Les rois et les lierres ne se manifestaient pas. J'avais bu plus vite qu'à la normale. kHz en étaux, j'ai un zinc en gaula de yack. Depuis les haies de Java aux pointes de mangrove, j'ai d'ozone haï les isopodes.
Il l'a poignardé et il se sentait encore fort d'avoir fait ça. C'est à ce moment là que j'ai su qu'ils voulaient m'étouffer. Avec leurs feuilles collantes adhérentes qui se tuilent pour recouvrement.
Tamsan porevielle qué sorobié manivoire.
I bani crielle a torré l'ouria soubanne.
Il l'a absorbée en fin de parcours. Elle n'a pas dit non d'autant plus que la poule d'eau surgissait en bégayant.

Le prochain c'est le bon.


Acte 3.
C'est par le nouveau venu que les considérations sur les peurs des fermetures ont surgies en à coups doucereux. Les complaintes avaient mal à la bile de se savoir trouées. La chevelure sans caprices glissait sur des tissus rudes des toiles feutrines accompagnés d'hésitations de pas brefs et courts. Les postures arrêtées étaient laides et monotomnes. J'ai sans faim dit "bonjour" à ceux que je croisais en prenant garde à trop de prévenance. J'ai décidé ensuite de mettre en pochette toutes mes possessions. De réaliser puis de passer commande de sacoches, d'enveloppes aux dimensions idoines. En répertoriant les possessions j'ai compté sur les sols les entailles des pouvoirs. Ajuster les paroies aux formes si peu diverses de la poperisation esthétique généralisée. On a entendu "de dio de dio d'salop" et nous nous sommes mis a terre pour respecter le serment inoublié. En respirant les poussières que nous avions laissé nous avons juré que c'était la dernière. Les espoirs cachés espérant la réitération du soillage des poumons. Trois bosses encore font dire qu'il n'en est plus. Il ne faut pas regarder de trop près.

Les galops ont su dresser les listes. Des spectateurs se sont tus pour laisser passer l'infâmie. Ils ont pris le bec en le retournant, se sont adressés aux plus fiers en leur posant la vengeance et, en relevant les maux de mâchoires, ont crié à la scorie des mines. Ils prirent la marche abrupte des pierreux chemins dociles sans les atours des prunes ni des fruits à coques. Demain ne venant jamais ils ont troqué deux poules contre un or pâlot des tromperies du sud. Ils ont chaussé la vertue d'un Implorant de Corinthe. Les costumes étaient tous conservé, transportés dans les sacs de peau pour en sortir au BON moment car ce sont de VRAIS professionnels. Des oreillés détruits sans fonctions perdant le nom de l'invention, ils en portaient les traces. Ils ont aussi du archiver les gestuelles nouvelles qu'ils laissaient derrière eux. Ils ont passé des jours longs de labeurs en doute sur bancs de montage à dresser le catalogue et les arrivages étaient nombreux de à propos de la tâche. Le nouveau court les rues de la percée facile.

Il était simple d'y projeter un seuil ocre de terres faibles, de sièges diffus au pas de porte. La vue des vagues vertes des prairies alentours pendant de gîtes drus de perles glauques de cuirs taupes. La forêt de pierres corails de souches verminées de pluies épineuses. Les résines collent les sols de couches translucides aux crispations d'insectes animés de sauts morts. Les renards éventrés qui geignent de frustration du mulot courant alentour. La nappe de fluides moites des tours de l'acalmie et un bosquet surdoué d'acrobaties sottes. Le loquet entrant des microphones rapportés un soir noir, indélicats des luisances tendres et scintillantes. Mêlés en contrpoint de la subite fureur des aiglons ciels.

Si ce n'est pas lui c'est qu'ils sont 2 à en être. Les visions déformées par des verres mals choisis et des troubles de l'équilibre dus à une poussée de sainteté. Il arrivait tôt. Juste après suivi de près d'une hirondelle oubliée. Les moustiques naissants devenant amicaux compagnons de purgation. Notoirement adoptés des grands noms dans la fonction champêtre de la famille jeune. Les petites mains de l'enfant peintes avec obstination. En descendant profond les rêves ont fait drôler la vis. Ce n'était pas étonnant. Toujours des postures nouvelles et ces gens qui nous montrent les façons et les manières. On voit alors le placement des pieds assis dans des gestuelles religieuses. Ces mouvements moindres interprétés en signes. Si le pied chaussé se révèle Oracle il n'y a là rien de sa faute car le signe est d'un autre. On l'oublie bien souvent de trop de projection. De sympathie affairée avec constance.

J'aurais tant aimé l'y laisser dans la culotte.

Je suis ici ça va bien se passer rapidement argent. C'est un grand noir trou pierre. Tout ça en grand. En araignée qui se passe des figures chantantes et maintenant j'étais où tout le monde, avec deux ou trois pavé encore un peu de plâtre, si ça vous dit ?Est-ce encore possible de leur attribuer un signe moins fort et battant profond ? Le lent roulement qui fait le rythme accéléré du son de la ville qui rend tellement ? La catatonie de l'an passé a-t-elle disparue des étrangers juste pour payer ? Est-ce parler à moi depuis la plastique des jours du daim ? Allons-nous encore voir les chèvres en costume et un ersatz de cravate portant le parapluie assorti ? Les mécaniques se sont-elles habituées au guon de la côte ? Les chants orientaux resteraient minoritaires qui portaient demeurer des rites mortuaires en flagrant délaissement ? Est-ce que je peux changer d'avis ? Tu dis oui ?
Il sait qu'elle le laisse par terre. Avec les autres choses réelles. Elle le fait tout le temps. Il se tient bien à la barre quand ça va s'arrêter. Il donne de très forts coups sur les machines à sous. Il continue et répète et recommence et à la fin il efface les traces de la manche. Il enlève la poussière. Il donne la mauvaise odeur qui va partout. Une mauvaise crasse. Il y en a des bonnes. C'est partout. Peut-être aussi les chevaux. Une cravache donne le ton. Il force la place se met à trois aux espaces pour 2. Prévu pour ça. Tourne les clés autour du doigt, fais la manche en disant bonne chance, met des jeans avec des rivets inutiles sur les poches, manipule tes trois téléphones dans la main, replace le marque page tissé a la façon turque.

Tout ça est juste passionnant. Il y a tellement de points lumineux qui clignotent puis s'eteignent. C'est si joli. Des matières disparaissent de la vue pour prendre des formes de philippes. J'ai un pistolet bien huilé pour dégainer le haricot. Un sabre au côté et je vous dit tout. Toute la vérité. J'ai causé des tsunami et des ouragans. Beaucoup de morts et des maladies qui s'en suivent. Des attentats me sont dus aussi en semaine. La vie est la vie. Les sacrifices sont orchestrés par les ouvriers des rivières. Le vin sent les jeunes qui arrivent tous les deux en même temps. C'est le premier en sous terrain qui est bien. Le chemin de dessous est fabuleux. On a tous les mêmes chaussures et c'est ça qui compte aussi. Ça fait claquer des doits dès que j'y suis. Il est énorme celui-là. Ça fait l'enfer en avion qui se crash. Il arrive à s'enfuir après un match de boxe imaginant l'effet énorme. Tu devrais le voir dedans sur tout complètement folle. C'est comme l'interdit dans la lande qui joue si tu aimes bien. Le village est délicieux dans les sens de compléments. Le sixième dans l'intuition, le septième dans le mouvement, le huitième dans le pélican. C'était beau. C'était jamais vu. Ça crochait les pieds des grands sentiments. Ça fait asseoir le bargeot. Ça va à l'endroit, ça va à l'envers. C'est important. Il est violent. Il est chez violent.

Je sais que les recherches commencent rapidement avec le signalement des enfants manquants. Les appels sont soudains et prennent le mauvais son grésillant. C'est leur terrain. Ils ont forcément raison. Les mouvements sont auto. Les noms se donnent par eux-mêmes. Ils sont tous seuls et le savent bien. Ils disent une chose et la font. C'est aisé. Ils l'ont déjà faite en le disant. Quand c'est répèté, ils le recommencent. Ils savent ce qui va se passer car c'est l'anniversaire. Ils y sont habitués. On retrouve les mêmes têtes. Ils ont acquis des techniques d'intégration. Ils sont maintenant capables de s'emparer des plus diverses sources pour en développer un geste clair. Ce sont de vrais professionnels de l'amateurisme. C'est évident. On peut leur parler des amibes et de la polarisation de la Lumière. On peut leur dire : "vous êtes seuls". On voit enfin comment coller les enceintes dans le chapeau en feu. Il semble parfois que nous ne soyons plus nécessaires. Notre contingence est notre suicide est notre réussite de l'objectif de la perte est le salut de la fin de carrière du maquereau. Les professions suicidaires ne sont plus sauvées. L'integration a fonctionnée. Les puces se regardent dans les yeux avec des moues séduisantes.

Roule roule roule roule roule roule roule les pneus les pneus les pneus les pneus les pneus les pneus les pneus les pneus poste poste poste poste poste.

Les petites pièces métalliques sont innombrables. Elles font le poids des présents.

On entend les gens marcher dans les rues dans les arrières des gares en disant : "Qu'est-ce que tu veux que je fasse d'un bébé là ?". On entends d'autres amusés qui inversent le syllabes en disant : "Si je vais bouger moi ?". Une détermination de l'extérieur. De quel côté ?
De l'autre dehors.
Pensez-vous que le "non" de la gâchette mente ?
Quel est son mensonge ?
Un autre homme vient-il maintenant au salon ?
Est-ce qu'il le faut vraiment ?
Cela doit-il être fait ?
Oui ?
Quelle est la différence ?
Quel est le sujet ?
Cela peut-il être changé ?
Pourrait-on, est-ce possible, de tout changer ?
Faut-il en être heureux ?
Le faut-il ?
Le faut-il ?
Combien de grenouilles connaissez-vous ?
Comprenez-vous la question ?
Connaissez-vous la raison ?
La détermination ?
Dansez-vous quand vous vous habillez ?
L'univers est-il infini ?
Pouvez-vous les appeler ?
C'est important de ne pas abandonner. Mais on ne sais jamais. Si je comprends bien ce que vous voulez. Délicatement des habitats de briques rouges en expert des motifs dans les rêves de vérité. C'est toujours la même chose ?
Les marques du sol de l'acalmie ?
Un autre cas ?
Odessa, Tbilissi, l'Italie !
Oui oui, les frontières. La Belgique ? Oui.
Un pommeau de layons bleus ? Oui.
Poursuivre dans les fabriques de solides blonds. Sur la plage il faut des travailleurs en centaures pour ne pas tomber. C'est ainsi que ça a commencé. Après un long moment. Un long long brut moment. C'est dans une langue que l'on peut comprendre. La fourrure ne nous le dit pas. Dans les cris des pièces annexes. Une langue que l'on peut comprendre. Des gens qui sont de créatures qui vont dans la nature qui mangent toujours le même dans une langue que l'on peut comprendre. Savez-vous où est votre sœur ? Est-ce que c'est bien là ?
Vous restez ici toute la journée ?
Quel est votre secret ?
Quel est ton truc ?
Là une boite à ouvrir, non ?
Les bouches s'ouvrent en même temps synchronie qui n'a pas de Secret pour moi dans les détails je trace la ligne directe pour les amuser sans problème. Les déterminants semblent plutôt dans le côté de la sécurité même si vous n'y croyez plus de la vérité décidée et prononcée sans volonté dans un nous voyons sans arrêt à regarder ensemble n'importe quand dans l'esprit ordinaire. Oui ou non ? Le faut-il dans les grandes lignes ? Le son le fait. Il le fait. Le son le fait. Oui. Le son. Le son. Que dites-vous de ça ? Le son le fait. Il le fait. Le son le fait. Le fait. Le fait. De quoi le penser ? Les écrans sont heureux comme ça je le tiens de la facture qui m'en donne des nouvelles de temps a autres dans les plans des bandits les regards du voleur le cambrioleur que l'on verra bientôt. Bonjour les enfants. Que feriez-vous d'un bébé maintenant dans le échos de la soirée ? Les bons qui marchent là seraient punis. Les raisons curieuses sont choisies par les autres de la fois où nous étions nus dans un torrent tou petit. Il y avait des guitarres et un petit savon bien blanc. Les poissons finauds fricassé frétillante de cordelettes métalliques gigots à l'ail. Le pire est passé à moins de ne pas éviter l'autre. Les vagabonds jusqu'à la mer y tranquilement. C'est oui. Avec moi. En se superposant.

Les dimensions sont scindées en casques a piles de moins de 20 en basse tension.

Ils ont un jour entendu : "Que les anges t'arrachent aux souffrances de ce monde ténébreux et sale, s'angoisse et de lassitude."

Les épuisements accélérés ne permettent à aucun la passassion des dires. Il n'y aurait plus rien à faire pour les digérés en farces qui comblent les défauts des paroles. Elles en manquent celles-ci, patientes du lendemain. Les mots manquant de sels des passages superflus. Il n'y a plus de galères unissonnes. Les pantalons collants des marges en fuseau, on aimerait dupliquer les tendresses amies, changer les formats, redresser les angles. Passer les suffixes suffirait à basculer les eaux en vins. On y tient. On tient bon. On tient plus que ça aux compagnies. On parvient en sursaut à dissimuler les renifflements. On aime ça. Que ce soit un peu lent. Ralenti. Que la voix ralentisse. Que ça s'inverse, que ça se dédouble. Que les "s" deviennent des souffles asthmatiques. Des inspirations instables. On supprime les cohérences. On relève les niveaux de sens. On gratte les velcros pour simuler le nez pris. On porte les objets. On les déplace. On les fabrique. On les consomme. On y vient. Ça vient vite. Ça grouille bien. Ça bouge quand on l'a oublié. Encore la cire coule de là.

La personne du Monsieur cesse de dormir durant 48h une fois tous les mois et prend le train le matin pour une ville distante de 2 à 3 heures de trajet, va manger dans un fastfood puis prend le train à nouveau dans le sens contraire sans billet en donnant sans dire un mot son passeport au contrôle passant. Il dit ne pas pouvoir dormir, ne pas savoir se reposer, souriant, que le train est long, que les cigales ont tout mangé, qu'il est animateur radio junior, qu'il fume, que c'est fatiguant. Il fait des concours de vitesse de frappe de culte. Il ferme les yeux quand les sons montent en relevant légèrement la tête. Il sent toutes les odeurs des dernières heures et de celles d'avant qui l'ont pris en éponge. C'est malheureux pour certains. Tous n'en parlent pas. Les enfants l'accostent en lui demandant l'odeur et le métier.


Acte 4
C'est en marchant de droit cheminements qui scintilles que je tourne les papiers à en faire des faisceaux bleus. Les retards ne comptent plus à ce stade délibérément sauvages. Ils viennent toujours à point nommé tant qu'ils sont cherchés par les sœurs. Les montagnes de constitutions en germes d'acier de pied en cape. Tu viens bien et tu vois. Tu viens. Tu bien. De mon cœur coquet des eaux noires de prêches en mots sur les temps en pleine postérité. Totalement en un monde de liesse. Ornements fins dorés la musique est plus forte en accompagnement des odeurs là. À se demander si tant elles sont présentes elles ne viennent pas de toi. J'aime l'odeur métallique des forces lâchées. Dans le sauvage autour je te vois. Les fermetures que tu essayes de pourquoi dans le buisson qui se fend de compagnies avec beaucoup d'écho. Que fais-tu dans les myrtilles ? Tu aimes y livrer les noires baies en compagnie. Tu noircis en échos les buissons de baies pour faire bonne compagnie ? Mon conseil, divine, les brosses de meurtres engrossent sous les nourritures noires. Là ton chemin me fait dresser la colonne. Je vais me perdre dans les curves en oubliant, passant outre les crochets que je peux voir juste pour moi. Je peux te voir. Je peux te voir. Rester simplement.

Les cartons de la ville étrangère me font dire que la ciguë coule dans les prés. Ils sont arrachés de fureurs parricides. Les enfants montrent leurs gros sexes les creusant profonds. Leurs chants leurs cygnes les sifflent mal, une plainte molle. Il y a les pathologies à gérer. On fabrique une maladie pour s'en occuper pour la soigner de syndrôme avéré connu de mères violentes câlines. Protégé de trop il est mort écrasé quand la demande exige un triple saut périlleux. C'est la condition de la production. C'est la double vie des azalés. Ce sont les histoires que l'on ne raconte pas surtout pas au coin du feu. Déméter. Isis. Osiris. Sigfried. Othon. Cassandre. Appolon. Athéna. Priape. Cassiopé. Ulysse. Thélémaque. Walkyrie. Râ.

D'être en marchant de fièvre le nez dans le jardin encore en parfum de symphonie. C'est ravissant. Des jambes des fleurs du jardin des roses. Les lignes de sutures léchées par des abeilles en veille juteuses. Les trios pleins se déversent tous dans ma bouche que l'euphonie croule de trop et des notes mêmes noyées. Froid de moi. Froid de moi pour les raisons.
Tu vas où alors.
Le là du présent alergique.
La victime chimique ?
Grandement c'est ainsi surdimensionné.
C'est nouveau ?
Les patients en conduction s'y laissent aller.
Les voix en murmures y sont pourquoi ?
Ce pourrait être juste comme je rêve.
Si je chemine dans le sombre vais-je trouver ton côté ?
En être plus que les pères. C'est juste ainsi comme influence fièvre.
Peut-être ne devrais-je plus avoir de questions ?
J'ai peur.
As-tu peur aussi de ça ?
Personne ne devrait en appeler aux techniques chimiques des rêves. C'est absurde de miroirs.

En vert je me noie. L'affaire de la foi. Il faut attribuer l'aigreur au sommets des accords. Le cuissant gain se dépêtre de trop de notes. Les sonneries sont les refrains des chants vieilles rengaines. En blanc je m'évite. Le houlahoup de ta vie c'est ce soir. J'ai trois mains et ça ne regarde personne. C'est maintenant.

Les gomettes des paraphernelles de pêche sont mises de côté pour les usages très prochains. Ils y goutent les plus beaux volumes qui cependant n'ont aucun goût. On leur demande de grimper haut les jours chauds et ça donne les envies de reprendre les crayons aux arrières protégés et accrochants. Ils y vont en vert en monts de verts neufs. Ils en abusent comme l'an passé. Plis en plus de sucées interprétées.

On y descend. On n'y reste pas longtemps. Non. Non. Non. Il y a l'olive qui reste au fond du pont. Du pot bidon. Qui tacle les acides et les retournent en bons. Tu as le téléphone. Tu laisses faire de devant. Tu assures. C'est déjà dit que c'est assuré. C'est rassurant. Sans se poser de questions. Dans ce pays frontalier ? Au revoir au revoir. On se pâme de savon. C'est long. Ça sent fort à nouveau. Des gens y ont laissé les yeux. Les gestes y ont été déposés. C'est une bibliothèque de gestes. C'est la grande encyclopédie du geste. Ça reprend tout depuis le début. Ce sont les documents ressucés qui nagent dans les huiles des capitales associées. Ce sont les encyclopédies des encyclopédies. De l'encyclopédie de la forme dessinée. De la matière. Du volume. Du goût. De l'odeur.

Elle est là. Elle est loin mais elle est là. Elle me ferme les yeux et signe comment est dehors la chambre. Elle voit comment j'ai vu qui je n'ai jamais rencontré. Et facile de l'oubli les crépitements en sont. Les sons sonnent de là. L'épaule pas en reste de sites de jeux. Ce doit être certain pour être capturé. Je ne sais pas quoi murmurer. Elle bouge en images arrêtées. Elle en vient aux mains quand ce n'est plus nécessaire de coincer les flancs dans les étaux mouillés. Elle y construit les bases des édifices des peuples en tentatives généreuses strictes. On choisit les contraires en se méfiants des moines habillés en prostituées. Un autre objet. Et c'est le désastre. Il faut écrire en mouvement. C'est d'une grande nécessité. C'est un bon signe de s'en faire les outils. C'était bénéfique pour elle de décider de les partager. De choisir le multiple. Le beaucoup en faire la qualité.

Les hayons de frottements y font les roses prêts à aller au prince. Ils veulent les nons des autres. C'est réjouissant. En frappant les miels. Oh miel. Oh miel. Un deux trois quatre. On attend. On compte et on attend. Que ça viennent. Pas forcément que ça monte. Mais que ça puisse être là. Au moins jusqu'au prochain compte.

Ils avaient l'habitude de ne pas avoir les autres. Ils avaient raté le coche. Ils étaient positifs dans leur carrière. Ils en voulaient tant. Ils avaient tout a fait raison. Ils disent des gros mots et volent les feuilles des autres. Ils passent la page, c'est un échange. Et à une date bien précise, ils désespèrent. Ils sont oraux. Ils rendent des comptes mais ne savent pas trop. Ne voient pas trop. Ils évaluent les aides. Ils sont sympas et connaissent bien ce qui apporte l'alcool. Ils ont le corps des espaces agencés. Ils s'en vont sans passage sans années sans supérieur, ça dit que ça ne sert à rien de poser des bornes. Ils espèrent plus de zones. Ils font partie des choses de bouches et de référents. Ils cherchent les objets car ils ne comprennent pas les agencements de lettres et de chiffres en cherchant les relais unis en cartons en trucs en trucs mais sans savoir. Ils ne savaient pas.

Toujours souvent attiré par les rais. Attroupés en pâtures. Neutralisés des os confits, surmultipliant les reflets. Les sordides restes baignant dans les marres. Aide-moi aide-moi aide-moi. A répétition. On voudrait l'entendre autre, plus suave. À manger le chocolat sans aucun soucis vraiment pour les traces sur les jaunes novices sous cette forme.

Est-ce que tu regardes ? Tu vois un peu ? Je vais arrêter d'aller là. Ou dans d'autres établissements. C'est très rare. Est-ce que tu cherches ? T'es-tu posé la question ? Qu'est-ce que c'est que 5000 habitants ? Vous-êtes vous entrainés ? Savez-vous vous déplacer sans odeurs ? Sans les faces souriantes ? Avez-vous la face claquante ? Mouchez-vous ?

Les couleurs que tu voies ne se marchent plus dessus. Ce seront les voiles qui pendrons les nus. Elle a assez de mal à se crier cousue. C'est fort en balance les trompettes des outrances. Je finalement pourrai manquante. Le nier des tours qui s'appellent Gilles compte. Comptons comptons ça ça va. Oui à la frontière il reste quelques rouilles estampes en paquets serrés. En mettant la cravate, la cacher ensuite, dans un pull, dans la chemise même, sous la veste. Le crime sera long. Il ne passera pas à la une, il fera le journal entier en tant de retards de dépôts. Il y a un grand besoin de place et les autres qui solutionnent les faits font trembler les figures de cire. C'est important. Les sont rudes freinent les envie de vitesse. Les locations sont touchées de maladies fongiques. Tous les départs orientent les créations de sociétés denses en propriétés. En s'occupant de ses biens propres. Cela suffit. Il faut partir maintenant. Quelques instants. Au riz au riz elle se perd. Pour moi aussi ils s'en boulent de trombes. Ah hé le combat sert plus aux champs. Sauf quel mal garant des épices vendues à mon atout qui drifte à l'ours gorgorisant serieux.

À sillons doux tourterelles volent faible.
Tendances floues pour les vifs ardents.
Les soupes cuisant jusqu'à l'or ravissent les tabourets.
Le vit est fort quand il ne dort.
L'oignon saigne quand le souffle est court.
Il faut de méfier des miettes humides.
Les couleurs ne se mangent pas.
Il n'y a d'arrêt que du milieu.
Quand la porte est poussée il faut la voir.
Quand la porte est vue il faut se pousser.


Acte 5
Les silences parlants que l'on connait d'avance ont été criblés de faillites liquides. Les coins ont tenté la reproduction des signes en circonstances. Le centre de liaison observe les muscles à bandage progressif qui fait circuler les mélasses noires. Il y a là-bas de nombreuses personnes liées de près aux infâmies. Ils ont cru bon de regrouper les lâches afin de dévier les sereins des acides problématiques. Les distinctions y sont faites entre les fantômes et les revenants. Les questions de moments se discutent alors fort en élan de groupes papillons. Ils sont surpris souvent de se trouver aimables et de souhaiter prolonger les vols avant l'acalmie des autres jours. On dit qu'ils ont les sexes verts et fringuants cependant qu'ils n'en usent jamais. Ils ont été pris de démence une fois. Trop. Trop de trop. Il y en a un qui dit qu'il croule. Trop de vitesse et en quantité. Ça fuse droit en supprimant les murs transformés en agrès. En course ça se dévore beaucoup. Ça élimine.

Un manque d'écoute des stridences assassines marquent des rêves de fesses un peu trop mollies posées sur jambes qui descendent l'escalier. Qui montre ce nu descendant de dos depuis en haut c'est vrai. C'est en haut des escalier que l'on peut lire les sons. Il ne connait pas la musique il est fou de rires de folie de noms accumulés. Le nom change sans arrêt. En une seconde le nom change trois ou quatre fois. Le docteur dit. Le nom change souvent. Il faut insister là dessus. La schyzophrénie par projection. Tu es X et Y et Z et même H ensuite. Calamité doit tirer. Sortir fusil armes de destruction massive de tout bord. Oui. Écouter les drogues prises par les autres. Écouter les fleurs offertes pas les autres. Écouter les pleurs fleuris de savon offert par toi et moi pourquoi pas de peu de pot de miels. Un miel anglais. Ou plutôt un miel écossais. Des pays vallons de bruyère. Des abeilles survivantes. Non piqué non tapé. Tout mettre à champ et poser là une bonne sacrément bonne colle qui va faire tout à tout pris. Foison. Vite fesser. La piste supporte les fers. Pourquoi pas un cognac ne fontionnerait pas alors ?

Quelle est celle qui hausse sur toi. Qui attends tu es où là. Cherche dans les couloirs des musées. Je suis en bois. Tu parles une langue que je ne connais pas faite de hic et de naï, de seo et de fellia. Maline maline. Donne-moi ton sac que je sculpte les sequins réguliers. J'ai un bon trou dur au côté droit. Le malingre est ici. Pas d'atermoiement pour le beau. Les matins radieux des lendemains lumineux. Qui est solaire. Qui regarde trop le disque. Qui brûle de croûtes protectrices de peau irradiée belle de blanc de chaud d'aucunes coulures. Éternue en le regardant. Reste long façonner ta rétine. Ferme les yeux le voir bleu et vert et violet et rouge et bleu. Regarde et fixe la direction. Bouge la tête les yeux fixes et sur ta rétine pyrograve le nom. Ferme les yeux c'est ça. Je brule de bois fumé. Pour se tromper je me bûche. Je m'écorce quand les sages s'enracinent. Un temps près d'un lac de barrage. Une retenue d'eau artificielle.

Là j'apprends que tout ça est faux. Que ce n'est pas la vérité. Qu'il y a des fois où l'on entend que c'est la vérité. Que certains m'entendent plus que d'autres. Ce n'est pas gratuit. Tout le monde s'installe là. La nourriture y est tellement bonne. Les goût y sont nombreux. Les textures se multiplient. Les vérités y sentent bon. Il est plusieurs saisons dans un même endroit. Les chants des bêtes sont de grandes études. Les salaires sont bons. Les petits sont évités. Les laits s'obstinent tant à faire estime. Les poings pesants fermés projettent doux. Les papiers roulent et les pouces lisent. Assises les grandes tapes. Souriants des crimes imaginés. Les langues étranges sont inventées par ceux qui ont les langues étranges. Le loin leur plait. Ils ont donné les cadeaux et ça les fait rire aigu. Ça leur fait tomber les papiers blancs froissés. Les touffes de fibres moussent jeunes. Les doigts de perdent dans les terreaux frais et noirs. On y filtre les laits les plus longs. Les bonnes souches sont humides des champignons nouveaux. Une nouvelle couleur remarquable par là. En absence de mots les sujets se font attendre on sait si bien enrouler et entourer. Les paquets de cadeaux sont sujets à l'attention. On n'arrive jamais à les écouler car les façons sont infinies. Entourant enroulant serpentant découpant pliant tirant froissant. Hors d'eux les deux de cire font cité des cendres poussiéreuses sales. Attend. Attend. Attend. Attend.
Attend attend attend attend attend attend attend attend attend attend.
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Le moment le doux le bon le long et le fin. Le moment de re. De sauter de savoir jetter. De projeter. À fabriquer de simple manière. Regarde ce que je fais je le fais.

Le moment dure de se ruer. Ils sont sensibles et arrogants. Ils pensent avoir la bonne idée qui ne fait qu'empirer. Ils parler trop pour rassurer. Ils agissent trop vite pour les bonnes intentions. Ils ont les fesses poilues. Ils sont discrets dans leurs compétences. Ils en veulent plein plus. À "combien" ils disent "trop".

Ça fini par en dire long cette affaire. Ça commence à les écorcher vivant, les bébés tapir qui ont de si jolis motifs. Après il faut les soigner doucement pour leur permettre de grandir. Il entre et dit : "Tuer. Ça y est j'ai dit un gros mot". C'est dit tu l'as dit. Ce que tu fais tu le fais. Le lapin se fait manger la cuisse qui disparaît aussitôt par morceaux de sa course en clairière entre ce bosquet et le petit cours d'eau. En course, arraché. On leur préfère la population des états excités. C'est classé par catégorie, à cheval aussi, en découverte, en homme, ça avance plus ou moins dur selon ton niveau. Il y a cette population et la mécanique à réparer. Huiler de bien sans toc de pomper vite et juste de détruire le temps qui se met en représentation. Taper dans les flancs et de pousser les lâches en partances. Les intriguer les doubler. Frotter frotter encore bon frotter. Tiens. Reprends les brols. D'étoiles il s'agit. D'effets confondants. Du bon moment de filante. Renâcler les membranes malentretenues. Ok.

Tu as raison d'avoir raison. Les animaux des rêves sont tous plats. Des feuilles oui. Des animaux de papier carton ciseau que l'on doit agencer pour en faire des jeux de bonnes combinaisons.

Abrassés ce soir de versions à créon, je navigue en peine de décrits mal avisés sans fréquentation verte de plantes absentes. Des étranges espaces connus en bizarreries nuites. Les fréquences claquantes ne soufflent plus maintenant. Je bois les airs des toux amicales. Les absorbent profond. Détourné des vieux penseurs de sagesse durable, des énonciations aux syntaxes parlées injustements. Les noms propres accumulés des avenues ne rivalisent pas des dômes montés. Les hauts de plafond écopent les acides. Je vais en arrière. On me dit qu'il y a un homme qui n'a jamais marché en avant. Je ne les croit pas je dis que c'est un personnage de porte de victoire. On me dit qu'en fait c'est une femme. Que j'appuie trop précipitament. Les formols sont lents les brûleurs s'appitoient bon. Le petit bonhomme haï de son pancréas soupçonne les spasmes des psoas de troubler les digestions et de conditionner sa socialisation.

Jolis gens, mauvaises chaussures, que faites-vous ? Je dis "salut" en cuisinant les pires. Il fallait peut-être incertitudes des fils incomber aux passions aux grands sentiments les goûts riches des encres. Les hydrocarbures moins là. Ça ne saurait tarder des afférences des lupins qui montent quand on les regarde. À y regarder de près on voit bien la bataille dans les traces de tous ces sols anciens. Il faut couler, refuser l'opérette, le dire trois fois à d'autres, appliquer les onguents, le dire à ses parents, prendre le train pour une fois au hasard, se faire étranger en son pays, avancer le réveil, détruire les répulsions, croiser les jambes dans l'autre sens, parler moins fort en général, se faire prêter des chapeaux que l'on mettra 2 jours de suite puis une troisième fois 3 mois plus tard, fixer dans les yeux, jouer avec les sensations auditives en activant les mandibules, truquer les diffuseurs à distance, poser son sac dans la poussière bataille, secouer la tête d'avant en arrière, admirer les sucettes, regarder les retoucheries avec envie, boire des thés composé qui serviront d'eau de cuisson, faire sécher les mauves dans un endroit sec, attraper les coléoptères de ses propres mains, plumer la bête, baisser les températures, et contempler les assemblages bois-métal.

Il l'a fait pour toi. C'est important. Sans aucune notification. Les textures se léquifient dans tu approches le regard. Tu en serres les doigts autour pour prendre les jus en exprimer l'outrance. Les petits pois sont mûrs à ta table qui rigole. Ça secoue bien la ville de certaines raisons. Tu tries les horaires en parlant à voix seule et tu déchires un coup sur deux parceque déchirer c'est bon. Voilà c'est celui là. C'est bon c'est ok. Tu t'en lèches les doigts en disant qu'ils pourraient faire ça en un coup pas en 100. Tu comptes et tu parles des comptes de salons et des dons des attribus. Tu remets le bas du manteau gentiment bras croisés. Tu regardes les autres rapidement une fois tout rangé parceque c'est bien ce que tu viens de faire il fallait le faire. De toute façon. Sinon quoi ils auraient pu le faire à ta place non ? En un et pas en 2. Tu as les doigts en papier et tout est en papier tout plat de feuille minces. Tu sais le faire découper tailler. Tu as deux outils et tu les utilises et tu voies un peu plus loin que beaucoup. Tu jettes un coup d'œil à gauche et à droite en secouant le buste qui bouge plus vite que ta tête et tu gigotes les genoux en accélération qui s'arrête et puis reprend. Et tu fais comme si c'était facile de prendre feu et tu souris lontemps le temps sûr qu'on te regarde. Tu fais la roue pour crâner pour mettre la tête bas pour être sûr que tu le fais quand on voit que tu le fais. Et le sol est le plafond et les mains sont tes pieds et la place tu la prends comme tu veux quand tu as décidé que tu as commencé et que tout peut recommencer. Et tes pieds ont maintenant chauffé et tu peux les relever du sol habituel et tu les fais souffler l'air là. Trop vite tu rues encore ça s'entend et tu vas chercher quelqu'un que tu connais qui t'attends.

Tu as de grands yeux que tu ouvres violent. Tu les utilises pour transformer les nons réduits absents de giclées en poissons, souvent en chimères, souvent en visages loins de réfèrents repertoriés. Tu nous préviens que si cela n'arrive pas tu arriveras fort. Tu prends en charge la tache et le coulé et le sali et le cassé. Tu en as assez souvent mais ça te dis que tu as ça encore pour toi et ça compte ça. Tu ne veux pas voir le petit joueur sur la joue qui gigoterait bien s'il n'était pas plat ancré. Tu tournes les talons et t'essayes à une course que le film d'action que tu viens de voir te donne envie de courir. Tu es essoufflé plus tard que prévu et tu sais gonfler comme il faut les abdominaux pour calmer le point de côté qui est arrivé. Tu avances en bonds de risquer le débord des liquides. Tu te demandes si de gens se sont vraiment demandé comment créer des substances mi-dures mi-molles. Tu me demandes c'est quoi mon truc, et on dirait que tu cherches la vérité. Tu dis souvent "vérité" parceque c'est là qu'il y a les grands sentiments. Tu dis qu'il faut répondre. Tu oublies souvent de te regarder miroir en désir de faire faire faire parceque tu dois aller retrouver quelqu'un qui t'attends et qui va faire avec toi juste. Tu as de grands pieds dont tu es ravi après avoir peiné à trouver les chaussures, c'est facile maintenant. Tu vas te faire porter parceque c'est ça que tu fais. Tu as un grand bras et des bibelots qui t'ont été offerts par un grand nombre de gens qui t'ont un jour attendu quelque part. Tu partiras en voilier un jour quelque part. Tu as de grandes lunettes qui te jouent. Tu a des codes en tête nombreux accès privilèges. Tu respires fort avec un silence entre le duo ins-ex-pire. C'est un rythme qui reste en oreille et une odeur qui reste en nez et que l'on surprend à retrouver à une absence. 36b14 b359 a2356 23562 57a12 00020224201 00020224206 1359* 768004. Tu as une fourmi dans ton café qui te parle pour que tu arrêtes et manges du pain azyme et du thé vert et mette ton pantalon 2 fois, tu le mets et puis l'enlève et le met à nouveau. Je sais qui a déjà dit ça. Tu as un bouclier d'attaque à bout pointu forme gala. Il est vendu comme ça. Tu continues de tousser parceque tu lui donne le signe de la brume de la fumée de l'acalmie qui doit venir des humides plantes mycosantes infiltrées. C'est facile. C'est simple.

Je n'ai jamais tenu ses pieds. J'essaye en général de ne pas y penser. J'occupe le plus clair de mon temps à en essuyer les contours, calmer la mer qui borde près la fin du monde. J'ai souvent entendu jaillir les frais frissons de demains apprivoisés. J'ai aimé les chaleurs des boîtes qui poussent pile une fois les attractions du vide. J'ai monté un parc pour cela, les familles y viennet pour connaitre l'infini. Beaucoup s'en vont au milieu quand ils voient que leurs enfants aiment trop. C'est possiblement risqué de croquer en pâtes les appelés de l'heure. Oui. Je me demande ce que je fais ce que j'en fait.



Acte 6.

Des lilas des dahlias des rhododendrons des tulipes des fougères aussi. Les graminées plein les poches je mange de l'eau confite. Les champs sont jeunes et hauts. J'étends les bras à m'agrandit à toucher les bords des plateformes. Je n'y parviens que tard en chassant les têtards. Il y a des tritons, parfois c'est plus rare des salamandres et la marre se tumulte des mains agitées. Les poissons sont dans un autre plan. Le temps monte des herbes à se pencher à mouiller la chaussure à se botter bien consciencieusement. Je capitule aux marcassins, hèle les sangliers. Les fils sont tendus de croisillons plantés. J'avance rouge en sac transparent en paroies de verre. À boire et à manger à grandir à trop peu grandir à mourir à sécher sur la pierre. Les mousses bordent les pissenlits les larves de moustiques ici. Les gerris peu nombreuses trop agiles mais ces petits scarabés d'eau. Dans les pommes de terre les doryphores à réinventer en doryphordiasémaminéraux pour en faire un vrai long nom. Les cannes sont rangées derrière l'humide et passant le portique en bois sur gonds huilés tâter la rive allombrée aux cerisiers. Grimper ôser nager.

Les macarons passent les grilles. Ils sont gros et plats et beiges. Ils y a le cinéma du projecteur bruyant et de la cotisation trimestrielle. Ils faut payer et faire passer l'argent de main en main. C'est ainsi. C'est la plaque d'égout qui cercle. Les concentriques qui jouent à l'enfer des centres atteints par les premiers. Il y a un mur qui est présent chaque fois qui tape les balles qui est en briques. Il faut fermer les yeux et compter et les ouvrir pour designer les coupables. Le jugement est facile et sot. Il y a les poursuites des muscles tisonniers des malins abrutis aux boucles laides et au regard idiot. Qui complète le gros qui fort est de bouche et de mains pesantes pris dans le bouton des manches et des cols. La femme n'y est pour rien quand elle enseigne à lire. Pour devenir parfait il faut courir vite en trois jours attraper si tu peux. Les terrains sont parfois meubles pour y permettre la culture de plantes répertoriées. Les arbustes jouxtant sont gras le lieu est rond les fleurs sont jaunes si jaunes. On les cueille ou les boutons qui laissent sur les doigts ce collant qui se fixe aux textiles et imprègne la pulpe des poussières marrons. Les araignées s'y cachent avec succès pour être dérangées alors que c'est trop tard. Les corps y sont verts presque translucides alors que les plus sordides se donnent en pattes courtes et corps épais. Le cocon tape aux portes de sources nulles. On les met en boîtes pour une enième compétition. Le pire est le vainceur qui évolue dans les toiles vieilles nouries des jus exprimés en mépris. Il faut sauter pour voler du même endroit que la bataille.

Je sais voler, je n'ai qu'à me concentrer et je vole. Je vole en fonction de ma concentration. C'est ça. C'est sans demonstration. C'est simple. Avant de partir je pourrais sauter mais ce n'est pas la peine je l'ai déjà fait. Je peux parler aux animaux et leur dire en compagnon. On sa comprend bien et la sauvage plus que d'autre c'est pour ça que les chiens le suivent dans les rues et que la ville jour des détours pour accompagner le chien qui est calme. Et que le cheval. Dans la vallée pour écraser les fleurs sabots. Derrière à pousser parfois des naseaux et du danger raconté. C'est une histoire. Ça écrase les os quand c'est là. Et la pâquerette est sur les lèvres à photographier. Je pourrais en prenant assez de temps déplacer les objets. C'est long. Il ne faut pas bouger. Parfois ça bouge un peu mais ce n'est pas manifeste. Je ferai ça demain. Le tricot est en ligne droite. C'est normal. Elle me fait faire des mouvements avec les bras. Il y a plein de plis. J'accompagne lui aux toilettes pour le voir en crachats noirs de nourritures sales à remettre dans les poches. Il faut voir à la fête et déguiser les masques des dessins végétaux graines colles. C'est pareil. On fait un quadrillage par dessus un dessin et on rempli les cases. C'est simple mais il faut choisir. Les fleurs sont parfois vertes il existe beaucoup de couleurs. Il faut les voir. Il faut aller à la piscine et nager. Aides boyaux de bords bleus en chaleurs qui débordent dans le hublot qui donne court aux déformations depuis la petite salle en moquette marron. Les jambes là près des coquillages bien cachés dans le cercle du bout du territoire. À creuser on déniché les multiples de savoir qu'était la mer. À vélo je circule et perds les routes dans les allées et ouvre l'épiderme par la pédale quand la sœur à côté. Par le bas de la cuisse le thermomètre efficace capte la compagnie répétée. Des chauds qui en émanent sont faits des vestiaires où il ne faut pas rester nu plus de 15 secondes. Les paysages artificiels sont parfois là à recréer des vagues.

Il y a des fêtes dans le cercle. Au milieu. Il ne faut pas perdre l'œil. Qu'y fais-tu ?je pends les valises des mousses qui se laissent lire ainsi. Il pousse contre le petit contre la porte en épaule. Les masques ! Les masques ! Les masques !

Avec un peu de ralentis, les cerises sont diverses et les jus entre les dents. On me cueille des branches entières. Les feuilles sont là. J'écarte les bras. Le coussin brun ne doit pas être sali il y a la fille qui a été embrassée par mimétisme. La côté est importante, les fleurs jaunes bien grasses là aussi les doigts collent. Enfin j'ai le cochon un gros pack. On creuse bien dans la cour on trouve les tessons on les nettoie on les trie on les assemble on en cherche d'autres on est sérieux on gratte profond.

Les cloportes gris comportent les sols de tas cailloux multiples sous les pierres et les pots et les briques. Le mouvement excentrique détruit la cohorte stupéfaite. La tortue bouge à la commande. Il faut lui dire de tourner un coup à droite puis un coup à gauche, de répéter l'opération pour la diagonale pour sauver les grandes firmes en faillite. Un nouveau protocole ferme le cercle lentement. Et il faut partir dans les pays où les murs tombent. Aller dans les marais de la mort et dans les bourgs livres. Les enseignes sont flagrantes et frappent le métier, les courants d'air fixent les mauvaises postures, les plombs sont coulés, les pulpes de cellulose sont fraiches et le tamis est fin pour former le filigrane sous le presse finale. C'est simple au moulin. Ça se sent. Les couteaux ne sont pas cher tous doivent en acheter. Ils sont épais et divers. Vous en faites ce que vous voulez, vous choisissez dans la gamme ouverte, vous prenez plus gros que votre amis et vous payez. Les bruns lointains et sapins. Les verts jeunes et doux, les rouges par touches, les noirs jamais complets, les bleus bien clairs. Il n'y a pas d'animaux.

Les jeux nombreux se répètent. Les lèches de savons jaunes bien fixes au dessus des lavoirs à main. Je tourne les mariages de rêver la participation. Je suis dans le mur de ceux qui avancent un pas à l'attente de la désignation. On me dit que c'est chinois, que les règles sont les règles et que l'on sort si on déborde. Je refuse l'avance courante pour plutôt briser le bois. C'est nouveau de partir de là. Avant le coin est un trou de vomis avant le macaron. Ensuite c'est la barbe courte qui menace le doux. Qui va frapper la fesse. C'est à éviter. Et il y a la révolution de costumes préparés.

J'ai fait des points de couture. Et la chaise est célèbre dans les espaces où les pièces sont disposés dans des pièces dures. Je suis arrivé avec les battements. C'est avec ça. C'est important. Ces espaces sont bien pousse gros qu'avant. Ils s'enchaînent avec une autre personne. Les couloirs exagérés. Des 15 à 20 ans. Ce qui continue c'est de penser. Ça change un peu chaque fois. Je ne peux pas aller ailleurs. Je sais très bien ce que je fais. C'est beige. Il y a des escaliers. Les conversations c'est un autre jour. Je pourrais changer mais je ne change pas. Il n'y a pas un sujet de creux de quelqu'un. C'est ça ton travail. Je commence à bien aimer. Je tire les bras je tire je tire. Ce qui c'est oassé c'est que j'ai avancé sur les dalles mal placées.

Si je ne me suis pas trompé c'est que le son y vient par couches douces. Que les ampifications moindres ont fait bouger l'espace. Les voix parfois de font entendre quand les claques des petits pas rythment une marchent de vents fins. Les ondes des gestes se ressentent bien à délaisser les briques. On entend le passage dans la pièce dans la pièce dans le tour de gauche à droite des chatouilles qui glissent en parasite de chauve-souris. Diptère peut-être. Qui fait bouger l'espace. Qui brutalise les murs. Qui inverse les sens. Qui sent la fin des sols. Qui émeut l'estomac. Qui dure entre les dents. Qui stimule les muscles. Qui tourne les organes. Qui résonne derrière le pancréas. Qui grésille aux lombaires. Qui bouscule les optiques et contrôle les teintes par un yoga ophtalmique.

Je les entends plus que je ne les fume. Ils sont doux de rentrer dans la gorge. Cette matière que l'on croit revenir encore mais que c'est une nouveauté non vierge. C'est le sang déjà goûté d'une eau qui n'a pas encore coulé. Je ressent les troubles dont tu parles. Je regarde le soleil longtemps. Pas de lunette qui filtrerait l'échange. Je le vois fort et le provoque et il le gagne alors que je persévère c'est lui qui a raison. Je le circonscrit en même temps. Je le reforme. Je cois sa craie forme de pulsassions lentes et la couleur qui évolue sans cesse. Les auréoles disparaissent elles cachent trop les formes réelles. Ouste ouste ! Le cercle bleu parfait que je le voie qu'il me le donne. Et quand je l'ai bien eu, m'enferme dans les yeux clos pour l'inverser sans précipitation alors. Il se donne là en mouvements incontrôlés des vaisseaux qui meurent et de reforment. Je le fais bouge le mantiens bien le tiens le roule jusqu'à c qu'il disparaisse complet. Si je continue je joue. Je dessine et manipule la rétine pour dessiner en persistances.

Il ne lui a pas parlé. Il a raison. Les nuits sont jeunes et la première fois il y a une étoile filante bien visible pour bien retenir. À ce moment là il y a là les deux jumeaux, faux, ressemblants, on dit que deux sortes, le même ou pas le même ovule ça dépend et là c'est comme ça ! Ils sont chez la même nourricière aux bras qui ont été forts et plus maintenant qu'il reste le jeu sonore en souffle et résonnances que les heures passent en vibrations longues. Les autres jeux s'oublient vite de la main qui agrippe la chair flasque et froide que l'on sent déborder des doigts. De toute beauté ! Un jour y a de la neige en avril. Tout le monde ne s'en rappelle pas. Et aussi les racines sortent du sol en brisant l'asphalte. Ça tout le monde s'en rappelle.

Aucune autre information n'est disponible. On sent le chèvrefeuille et le patchouli. Et le dimanche il y a la messe. Le matin il y en a deux. Si la première est ratée la seconde c'est ok. Il y a des bas tombants et des araignées montantes. Les chemins s'inversent et les paroles sont formées sur les bouches avant même que le maître de cérémonie ne les prononce. On peut s'entraîner à cela en plaçant de plus en plus en avant les mots. En achevant en premier. En faisant un constat rapide. En remplissant les questionnaires. Le moment venu, les sommeils sont plus longs et artificiels. Pour ne pas. Il vaut mieux ne pas au bout d'un temps. On force le choc pour se retourner et mimer le sursaut, mimer le souffle, mimer les sons à s'empêcher de se lever pour d'autres activités.

Les actions fourbes parfois laissent entraîner des mensonges dans le paranormal des apparitions et des disparitions. Une crème est étalée sur le mur. Des trous sont enfoncés dans le polystyrène des toilettes. Une bague n'est plus dans sa boite. Sans partie de jeu des responsables tristes et de la culpabilité amnésiaque. Je gorge de rougir. Les appétits veulent paraitre délicats. Ça fait dans son coin dans le fond du couloir. Ça se cache et ça y joue en sachant qu'il vaudrait mieux ne pas.

Certaines eaux cachées se taisent sourdes des grotesques admirations. Au jour elles roulent aux bons temps et quelques sons ambigus couinent.



Acte 7.

Les yeux croisés se pignent de défis. La charogne alité gémie depuis un temps. Les livres y sont bien sûr pour quelque chose ! Ce n'est pas la raison d'attendre. Les haleines des ceux-ci sont 2 trous qui bougent. J'ai attendu de bons moments à trier les gommes puis à choisir sur catalogue. À répéter les écrits et les remplissages de sacs. Les techniques s'assurent vite.

Les poissons en orangés de façade grouillent dans le milieu des appétits. Et du tam-tam court et du crache crache sang. Des rives véritables des saucissons de jeunes cochons. Les salades fries aux encycliques de pailles. Les jaillissements des tours que jamais jamais ne lèvent les verres plus haut. Cascades affriolantes des boucles jaunes des brises. Ils disent "compte" comme on prend l'apéritif. Sonnent les rires des battants de sourdines. Pardons en premiers mots se reposant sur les paquets des autres. Les couleurs bleu blanc poivres des îles et roses déjà vieillis. Il ne faut pas en tenir rigueur. Ça se tasse poisson et si on est pas content c'est que les sacs vont à terre. Si c'est comme ça. Donnez-moi vos manifestes. En faire le manifeste des manifestes. Les mettre en page comme il faut. Le carrelage est dans l'abîme. Et de l'amour et de l'amour à nous conduire à une mort unique. Regarde par dessus l'épaule. Regarde avec le jaune. Il y a bien un peu de sous, quelques piécettes à entamer la collection, à recevoir les collections des autres qui ne les font pas.

À poil les morts. J'achete les pains en arrivant à demeure. Ils sont chauds le midi, froids le soir, secs alors. Avant cela les murs ont du être embrassés. Les petits animaux sont partis depuis longtemps. En plus c'est ce que j'ai dit la dernière fois. Oui, je sais. C'est ce qui est repeté. Ils ont été serrés trop fort. C'est un problème. Ils ont été lâchés de haut. Ça n'a pas suffi. On fait pourtant les balles ainsi. On lâche les gouttes de plomb de bien haut, d'une tour, la goutte est bien formée. Chaude en haut, froide en bas, et bien profilée. Il y avait aussi eu des fromages aux endroits mauvais, vulgaires, inoportuns, vicieux. Il y a eu une araignée au milieu du couloir qui a fait blanchir les jeunes peaux récitant l'amitiée homo-arachnéenne. Il y avait des courses nues criant le nom d'un mythe relié à un fruit exotique. Et enfin les camouflages rieurs des malenpianismes puérils avertis des jeux heureux qui se terminent par le rire nerveux d'inconfort en face des consternations lucides de ceux qui ont compris. Il faudra attendre une cave un midi au plat chauffé du petit four électrique pour prendre le pleur juste et droit de la tristesse entendue des anciens naïfs aux ongles mous. Il y a ceux des vieux qui restent à se balancer finalement sur la planche des petits qui prennent à leur tour le rôle de l'à bon. Le lit est posé loin pour qui veut le voir où il y avait des punaises. À côté de la meule qui sort des oiseaux des pierres alentours. À côté des outils d'où sort la courte hache. À côté du puit qui cache l'eau glauque et froide. À côté des vipères bien longues et des anciennes poules enfermées. Il y a ensuite.

Tu veux ce que tu voies. Tu descends les escalier de cet espace commercial sur les marches les gens circulent et ne se préoccupent pas du petit enfant petite fille qui est nue allongée sans bouger face contre marche petit corps sans mouvement pâle. Tu descends plus par mimétisme avant de remonter enlever ton manteau. Un homme dit c'est déjà fait quelques marches plus haut les pompiers. Tu continues quand même pour une couche de plus et tu regardes les yeux et veux voir si ça respire. Tu voies les yeux qui ne sont pas tout à fait clos révulsés qui semblent à peine bouger qui fait un haut le cœur qui la fait basculer dans tes bras qui te dis qu'elle respire qui la bouscule un peu qui te fais dire respire et ses yeux viennent droit hagards et le visage est étrange et neutre et trouble et net. Le moment de remplir fait des tas de papiers de chercher la raison et le nom que tu retrouves dans un autre formulaire qui est bien familier. Elle presse le doigt sans cesse entre les deux sourcils qui produit de plus en plus de douleurs. Tu es dans une pièce grise où tu te réveilles emprisonné avec des caisses que tu regardes surtout une qui est pour toi. Il y a des tubes bien rangés qui alternent les gris et les blancs. Tu les touches et les fais pivoter pour les retourner. Tu comprends que les œufs se retournent et la dame aux cheveux blancs te le dis en ironie de bravo. Le gris nourrit les blancs et c'est un engin spatial tout cela. Je tourne et parfois en entre ouvre certains. Les portes sont vérouillées. À un autre moment tu es avec quelqu'un qui a peur des chiens. Il y a un chien, bien noir, bien grand. À un moment où le chien est sur le lit endormi, tu emporte quelqu'un et tu t'allonges entre quelqu'un et le chien et tu le caresses car il ne fait pas peur. Quelqu'un n'a plus peur. C'est certain.

Il marche devant les cerisiers à se faire photographier en tronc de ceux-ci. Il est aussi en forêt avec des morceaux de bois et pierres et cailloux nombreux de mousses recouverts. Des assiettes reçoivent les pierres de collection pour redonner aux natures les engagements des contemporains. Les multiplications numériques des atouts de forets constituent les pendants de saisons. C'est un sujet parmis d'autres de songer les familles liées aux proches tropes des environnements de sequins.

Nous sommes dans le renfoncement du bois, il reste quelques feuilles mortes de l'hiver que nous avons passé. Les arbres ici sont vieux et le soleil ne peut donner que filtré une diffuse. Nous regardons un peu plus haut sur le flanc de la petite montée le renard bien roux qui fouille sans nous voir les feuilles y dégoter. Il devient coyote en nous regardant, babines retroussées à faire face de côté. Menace qui se tarie entendant les chevaux venants. Ils sont roux bien clairs au nombre sans doute de 3 mais parvenant de la plaine à nous par 2 se dirigeant vers le coyote. Arrivés à lui les chevaux sont de gros sangliers violents qui chassent plus que fouillent. Ils descendent du promontoire en laissant un temps pour courrir s'aggriper aux racines sortantes des platanes du versant opposé. Les racines sont belles et denses et offrent aux mains les prises idoines pour même y insérer un bras en crochet. Mais la fille reste là à accueillir les sangliers à se pencher les amadouer les caresser pour que rapidement ils l'emportent en gueule et de cris dans un terrier sous les arbres bas disparaissant tous 3 les cris d'appels continuant.

Les hauts des varants dos bosselés s'en iront demain aux bagues des mers. De s'agiter tentants de parler de leur reddition, des chars et des laines. J'envie les sauts qu'ils précipitent aux goûts de terre.

Les trucs de dessous sont un peu plus brillants. On y parle des mots qui disent comme tout cela scintille et les fontaines forment des diamants. Les côtés sont en croisements de cristaux dans toutes les étoffes de parades de jour régulier du siècle. Là. On en parle encore de gouttes qui tombent sur les épaules de ces gens. On a réussi à tuer l'impatience des fastes par des machineries de prêtres en bâtiment. Ils connaissent les bétons mieux que toi à lier les espaces vides en en créant de nouveaux. On sait bien les formules des puits sans les fonds des mentaux des truites qui menacent les carpes aux parasites dorés. On s'en souvient bien. Et là encore on dit pardon.

Y-a-t'il les petites cartes de visites aux mots de ces étranges ?
Oui.
Le train s'arrête-t-il au stade de ceux qui culminent ?
Non.
Avez-vous raison d'avoir peur ?
Oui.
Croyez-vous ceux qui affirment comme s'ils disaient savoir ?
Non.
Tournez-vous les papiers à raison ?
Oui.
Entendez-vous les chants des machines qui contrôlent le pas ?
Oui.
Est-ce qu'elles chantent en cœur ?
Oui.
Reprenez-vous les trouées dans les précieux ?
Non.
Donnez-vous l'étendue quand on demande le bol ?
Non. Sans quoi ce n'est pas un mot d'épargne.

Ça frise les huttes en fous de traits de finauds qui de respectent. Des filles alitées aux cieux des élans inégaux. Nous mettons des espadrilles rouges quand les jeunes garçons commencent à désigner les places que doivent prendre leurs sœurs. Nous en voyons tenir à leur croisement de jambe. Tu penses souvent aux charentaises ?
Tu bois souvent la nuit ?
Tu as déjà vu un marin rayé ?
Tu portes parfois la fourure au printemps ?
Tu tapotes avec tes ongles sur les cadres en féraille qui résonne ?
Tu tiens à regarder ta montre ?
Tu te rends compte quand c'est du faux ?
Tu vas te baigner dans les mers ?
Tu forces le trait quand tu voies un oiseau ?
Tu perds souvent tes clés ?
Tu crois dans la vérité ?
Tu penses à l'infini ?
Tu connais les étoiles et les planètes et une recette avec du paprika ?
Tu voies des élites de tous les milieux ?
Tu mets des sacs plastiques dans des sacs plastiques ?
Tu coupes les dépassements des sybilles ?
Tu voies la nuit les nuages orangés gorgés de mars et de lumières ampoulées ?
Tu t'arrêtes quand il le faut ?

De retour sauf à 17h, je prends la buche à la hache attaquée à en faire de simples copeaux. Ça dure longtemps et force les bras que je retiens mal. Quelques musaraignes crient aux parents je la nourrie comme un oiseau trompé par l'ouverture vers l'introduction assomante en attente de repos un jour après. Les araignées sont au plafond des pièces peu envisagées. Au sus sol il y a les choses. Nous partons au delà du premier horizon pour trouver la route qui se termine en avenue principale et les sommets au bout en marquent la fin. Avant cela les filles pleurent en recherchant leur abeille. "Meine bine. Meine bine. Meine bine ist vekt ! Meine bine. Meine bine. Meine bine ist vekt !" Elle court à travers la forêt de pins en pleurs de perte. À côté une femme sort du cabanon en rondins grossiers laissant une trainée de papier courir de sous sa jupe.
Une autre fois nous sommes en face des grands espaces rouges creusés de grands temps. Ils soulèvent la voix à propulser le chant. Idiot idiot tu chantes à la remarque. La langue native est ailleurs dans un autre vaste horizon qu'un homme à plumes marmonne en mélodies répétitives. Les sables sont fins. Là ils attirent l'attention à quitter le véhicule pour sentir une fraicheur de cette chaleur qui ne permet aucune goutte. De retour dans la protection en artifices, nous coulons en quantité soudainement. Nous avons dépassé le dernier poste en avalant un demi kilo de viande. L'artifice rend malade de contrastes trop forts. Mais la chandelle le vaut à voir les degrés transformés et les nuages magnifiquement dispersés en prenant les teintes de fables. Les oranges et les bleus à cet instant se trouvent.

Nous avons encore trouvé les cascades puissantes et les séquoias millénaires. Les fraises n'étaient pas là. Nous les cueillons tout de même. Nous étions il y a peu dans une villes aux limites de l'eau. Un piton habité de ruelles dévoyés et aux lames mal aiguisées des coupes papier aux allures de. On y acheté un coq alors qu'ailleurs on rapporte des yeux bleus aux iris blanches aux pupilles noires. Les dieux sont avec nous. Nous traversons donc les eaux ensemble pour atteindre les moures luxuriantes. Et au nord, les pans sur les places les ponneys inachevés les toits de tuiles. Les tuiles qui sont là chamarrées.
Je reprends seul le bateau pour tâter du nouveau. Les heures longues.
Je pense. Enfin je sais pas, je. Une semaine contemporaine. C'est pour dire. Et je ne l'ai pas revu depuis. Elle ne l'a pas reconnu. Elle l'est. Après elle s'est barré et pénétrant. Tant pis pour elle. C'est pas grave. Ce n'est pas le même domaine. Tu vas te calmer. Allonge. Comme ça. Tu vois. Super. Attends. Les danseurs sont comme ça. Moi je pense honnêtement. Parce que c'est trop dur bientôt si c'est trop clair. Elle se dit mais je suis d'accord on est tous pareil. Certes mais voilà. Il y a quand même de l'élégance.

Je découvre le verre et il y en a partout.



Acte 8.

Je vois le profond contrôle. J'ai besoin de maaaa.
Derrière l'influence pour laisser maaaa.
Ohhh les monts de croquants en jouets parfaits.
Nous avions la place parfaite. Qui a assez bonnnn.
Si tu dois aider part des villes. En une nuiiiit.
Pour venir un peu de l'arrière. Qui me laissera bon assezzz.
Oui. Ou non.
Tu parles au garçon. Nous cherchions entre les deux un peu de à dire.
Quelque chose a fait face à cela. En éruptant de la lumière de la lune.
Nous cherchions radical un point de sortie. Nous étions si proches choisis en haute vitesse.
Et nous mentions par les vieux dans la lumière de la lune.
Nous cherchions un pas trop dur et nuis avons écrit à partir de l'autre.
Il sourit sec en face pour
raffraichir ses dents.
Tu loves dans les frères entre les deux.
Tu sais que dirait l'autre de tap et tap.
Tu es oui et tu ries comme tu ries.
Si prêt de drôle c'est baise dedans.
Ce que je fais c'est demander pourquoi.
C'est assez vieux de prendre à l'intérieur.

En cours je suis pour un. Pour deux. Pour trois. Pour quatre. Pour cinq. Pour six. Pour sept. Pour huit. Pour neuf. Pour dix. C'est en dansant de près que je rougeois des murs. Les serviettes sont jetées. Attendez-vous au pire. On n'abandonne pas pour ci peu. Mais on donne la main pour passer du bon côté. Il y a des lignes qui en donne le lieu. Je préférais les tentes plantées dans le jardin à lire les romans gothique après avoir eu droit au feu en compagnie des vaches pas si lointaines et d'un veau qui connaissait les astres. Un coup de réveil en une bouse grasse pour apprécier les scarabés besogneux. On a vu les gerris et les vermines animées de fragments. On a dérapé en changeant de niveau dans la ligne droite. On l'a fait également en saluant la foule qui attend quelqu'un d'autre. On plie la roue et on s'en va.

Est-ce ainsi ? Est-ce ainsi ? Est-ce ainsi ? Je te noie de bouillons frais de chérie. Tu es dans les noirs avoisinants les foules. Il y a peu je m'étoudissais de ça. Un rien de cramoisi qui dit le rouge des peaux. Tu as brûlé dans les seaux de fièvres agitées. Je me lève je te voie. Tu es si sûr. J'en écarte les pattes de gibots retournés. Nous y voilà aux routes. Écoute ces répétition qui frétillent. Je suis en sus des sangs de l'an. Alors ? Est-ce ainsi ? Est-ce ainsi ?Est-ce ainsi ? Tu leur apprendras des tas de choses. Tu n'as pas besoin d'être un chef. Ce sera un plus. En cela je dis que les raisons suivent les expressions. Il y en a plein qui viendront. Non le plan ne trompe pas. La raison si tu veux. Je te prends en arrêtant de demander. Ça ne me dérange pas. Non. Ça c'est pas facile. C'est un plan de formation. Quand ils sont deux ils ouvrent pareils. Les prix sont au-dessus. Ça n'est pas surprenant. Ils le font. C'est de la chimie. Les gens viennent et ils payent. Les épaules prennent de la place. Dis le moi maintenant. Encore. Est-ce ainsi ? En même temps si je donne des conseils, je ne parle pas. Je ne le fais. Fin. S'il vous plait. Ça ça va pas. La nation est de l'autre côté. Je ne comprends pas, je suis comme toi. C'est rare. En plus. J'ai fait le juge et ils ont perlé. Moi aussi. J'ai vu comme c'est possible. Après, tu voies. Je suis prêt à le refaire. Il faut mettre la pression et des produits, le geste simple.

C'est du merci, oui. Oui. Est-ce bien colle cela que tu fais. Tu ne m'as pas invité, c'est moi qui ai fabriqué une venue. Avec un poisson autour du coup cela marche mieux. Toujours avec deux ou trois hésitations. Cela respecte les normes. Tu as fait un bazard, en impliquant une famille. Tu as choisi la porte G pour commencer. Tu as suivi par la J en te trompant à nouveau car tu voulais la A sans oser le demander mais plutôt en forte lutte. Tu respires les M dans des chemises prêtées. À un autre moment c'est M qui est visée et tu te retrouves face à A qui t'empêche de passer. C'est compliqué et ça donne de l'eau au bain. Tu es sur le bord d'une fenêtre trempé en grattant les vifs. Et dans 6, tu sautes. Car pendant ce temps tu n'as pas vu que des personnes te proposaient de quitter les portes comme cibles mais de courir dans les couloirs et de passer les murs. Tu t'en rends comptes à temps. Tu cours et grimpe tant que c'est possible avant de te remettre à des passages tentants.

C'est là que tu verras si c'est un homme. En quelques millions d'années, plus ou moins. Bien caché bien caché. Attrape si tu peux.

Tu es le matin. L'après-midi tapi. Mais j'aime les bêtes qui aiment les noisettes.
Oui elles sont à jamais. De la loi qui est faite elles obéissent à leur façon. Tu sais que ça vient de là, dis si tu veux que c'était de moi. Ok.

Pluie de pluie je prends tout. Alarmé il me vient des sursauts acajous.
Un peu de ciel qui manigance une pratique de vertèbres aérées pour des décombres vivants aux gouttes qui s'agitent.

Brillant c'était. Je l'ai dans le train. Barbus les nus qui prennent un bain.
Les hameçons frétillent et le fil est jetté. Nous avons cueilli les tomates. Elles ont les mêmes yeux d'un sourire bête et tombant. Je suis sûr qu'ils en sont exclus. Ils ont le sexe gros de ne pas se découvrir. Les enfants sont comme des cigales. Chéries. Les tchoutchou elle les connait. Elle écrit de surveiller les gènes, de chérir les roses. Les cils sont hauts. Ensuite c'est un départ sur l'île. Je ne vais nul part ne pas partir avec une moitié de toi. Si tu n'y vas pas avant. Je ne travaille il n'y a plus de courses. Des embrassades trop rapides. Toutes les monnaies que j'ai vues. Plus en allant vite avec les portions de vol des arbres. Je l'espère bien. C'est pour.

Je peux dire je meurt. Roule et roule. Parle et parle.

Ensuite un grand trouble survient. Je ne me souviens plus. Il y a des confrontation et des jeux de vitesse aussi. Il y a les places qui sont prises et les jeux de flammes. Les choses fondent. Certaines trop peu. On force dans la cuve à provoquer l'infâme. Je sens le plomb brûlé, je teste les essences sur les surfaces variées. Je sens les acides qui se dégagent et les formes en même temps et les mythologies dans le même mouvement. Les sens sont peu à peu plus vifs pour finalement prendre le regard comme piste d'atterrissage. Je vois alors jusqu'à craindre de perdre la vue. Je protège mes yeux attaqués de poussières variées. Une poussière de plomb. Une écorce de cacahuète. Un grain de sable de mer. Une croûte de pain. Un grain de sable de travaux. Une poussière de pochette de lunettes. Un morceau de bois. Les suivants. Le prochain client. Le bon sens. Les toits se couvrent de terrasses. Les sommets se révèlent atteignables. Des neiges se pointent. Il y a des ânes parfois. Ce sont des mules. Ce sont des tambours. Ce sont des brulures du soleil plus fort ici. Ce sont des duvets humides. Des sexes neufs aux humeurs attrayantes. Des crickets qui suivent des boucheries. Des chairs nues qui se tournent en découvertes d'eaux ludiques. Des échanges d'habits qui font changer le vît en beauté amusée. Les sottises des dessous de table cachés des vues parleuses. Mais le tour de main ne varie pas des sources de l'attanchant trait qui se dessine aux détours des contours en recherche d'essence par les lectures engagées dans le pure qui fait l'infatigable affontement des délits de pensée en pointant puissamment les folies inimaginées qui deviendront les affirmation à venir. C'est ensuite que l'aveu de l'évitement est sorti pour appuyer un désir de solides pâmoison. Des mots en sont sortis qui avaient déjà été prononcés avant que de nouveaux agencements ne transforment le dit en un produit de liaison. En prenant la hauteur du bâti de soutiens ancrés en trépieds d'un polygone de sustentation optimal. C'était clair je ne suis pas sûr. Il a fallu l'aurore pour un trait sur une carte à la faune mauvaise de reconnaitre le tort de toucher à la saison d'un trait si tentant.

Voilà. Il n'en a que faire de ton argent. Il ne veut pas tes présents. Il veut juste toi. Toi. Toi. Et il dit que tu seras à lui et que n'aura pas le droit de manger des sandwichs.

Les carottes de prédilection sujettes aux dérilictions se sont tues. Les catastrophes arrivent doucement quand dans la montagne une nouvelle vallée est découverte déployant un frais tapis rayonnant de vert amical. Les ruisselets courent sur le plateau en contrebas du glacier avant de former un premier lac. La crête est dure au pas qui provoque des éboulis nombreux. On hésite à passer en un matin clair. Le chemin aride ne laisse pas présager la succession de renflements ronds au delà de l'épreuve. Nous croisons souvent des panneaux jouant les messagers de nous donner les directions insensées de villes à des milliers de kilomètre pour nous redonner le contexte planétaire quand nos pieds souffre la soif d'un dos apesanti. Il faudra y penser. Le tonnerre est violent qui succède l'éclair finement dessiné dans la vallée lointaine. Il n'est pas loin, c'est cette Lumière. Un alors de cieux arqués qui dit toujours d'aller derrière l'horizon. De marquer l'horizon et pointer sa fuite c'est donner à l'utopie un lieu humain toujours plus loin. L'utopie est derrière la ligne.

La cime des arbres en pleine turgescence prend loin profond dans les puits vicieux des colines qui dégoulinent.

Hu rag hi rag. T'y le mac à la log en le suant plus que de peu. Un peu rouge quand même. C'est la fraise comme ça. Un peu partant en aller quoi. Ils passent les sûr qui disent regardent en trop. C'est comme ça leurs rires de ce ment qui rigolent ils rient en disant qu'il étaient occupés à penser. Ils sont en clostes des trus de miels. En passant le temps à communiquer des pensées. Je le vent de ce sang qui de trois en mois se mêlent de se ressembler. Tu le temps c'est pas bien. Je vois cela que tu dis qui devient plus intéressant. En même temps je n'y suis jamais passé outre de ma deception qui se dit en Loulou en ayant ttavaillé avec lui qui dit de même. Ça va avec. Je le sens qui de mourrait en le tas bas. Avec bous après pour le soin au besoin. Je le sens plus en confiance. A. Aha.
Les sillons des monts se clairent des ciels de la poudre des miels.
Tu es sans sauce de ribaude. Il me tient d'en serrer les mets de la coule qui s'odore. C'est en sang qu je gis de la fouine basse des mines.
J'ai les poches de ces bancs. J'en chancelle. C'est 40, 50. Oui. Souvent j'achete un. Un autre. N'importe. Ça de trouve. Ha. Aha. A. Le faon de la lire du end des sons de la muette de sous-culs, j'ai quand même passé les faits des Ivals de cent. Un peu de quatre ça reste. C'est très clair. Voilà. On perd le plus. On agence les doigts. A partir de quoi. Ça flanche. J'ai regardé. Une histoire de poils.

Sale attente à tes tendances de crues. Je prends le gisant à ton attention en répétant : puissance, puissance, puissance. Tu montes les marches au milieu d'une rue pavée escarpée. J'y pense bien je vois tes vagues. Je lui ai amené un livre en regardant ce qui se passe. C'est peut-être uniquement pour faire passer le temps. Mais personne ne rie ? Tu voies bien les sonorités fines à tester la coupe et la syncope. Un instant se déroule en ce moment. Mais qu'as-tu voulu dire ? Dis-le moi enfin. Tu dis : puissance, aussi ? Je somme l'âme à nu. Tu m'es ni le bon temps à forte salaison cautériser les viciées. Fa fa fa fa fa fa fa.
Tu entraines à raison, à aimer la façon. La douce moribonde de la doux. Il fait si et tant. Tout en noir, mais des bandes de peaux. Redonne un instant. Refais du rythme. Reprends les mots. Attends avec impatience. Redonne du mou. Reapprovisionne le regard. À raison et à façon. Ainsi. C'est la forêt. C'est au lac. Ce n'est pas n'importe quoi et c'est important.



Acte 9.

Le sein attend. Touche moi. Donne moi un peu. Donne moi. Il y en a un bon paquet. Et ça part vite. Elle court dans la vallée, danse et cueille une fleur. On ne peut pas l'aider. Elle est une fille. Une des nôtres. Sauvage au-delà. Les peuples ne peuvent voir quand elle sourie des nôtres. C'est notre qui brille et qui est toujours d'elle. Lève les yeux et regarde qui lève les yeux en face et ensuite directement la fenêtre. Elle chante le marteau en instructions. C'est un notre qui permet d'être elle alors soyons elle comme des nôtres à elle. C'est une fille et vois, oublie le nom.
court et court et je peux voir comme je te toi. Homme oh homme rien de besoin. Des yeux plus que toi, laisse moi rentrer comme chez moi chez toi avec toujours. Prend moi il vole. Siffle et siffle et court de souffle. Batabat. Dans le parc dans le noir beaucoup de chutes. C'est vrai jusqu'à la mort. Courir de libre il y a quelque chose à voir. Maison. N'importe quand je suis avec toi. J'ai souvenir de chute de béton. Je ne dis pas jamais. Profond profond. Maison je devine. Beaucoup de beaucoup. Quand j'appartiens.
Tout ce que je dois voir ce sont ces bosquets. Ces unités complexes. Le regard peut les embrasser d'un coup mais alors vient le détail et le coin et le creux. Il y en a beaucoup. Des unités bon évidentes, emergentes de front. Qui battent en plein des monts aux grands. C'est une approche du multiple, une simplification du nombre, encore à mon échelle. C'est peu. Ce sont des bosquets ou des vals ou toute accumulation dans un terrain donné.
Des partis et des aciers. Les germes de amour pour amour.

Irriguons tant que peu les encore stices de la due. J'y core de la fée les assidons doux. Tu vises la tête. Je dis au revoir. Au fait. Quand j'y pense c'est à façon. C'est colérique et c'est fatal. Dure et dure et dure et dure. J'en suis là d'appeler car au moins ils m'entendent. La voix ne porte pas proche c'est pourtant. C'est une fuite. Un monde de fuites. Des fuites lentes et forcément intrusives qui rient les nez des vrais professionnels. Les gouttes à goutte qui obligent qu'on s'en occupe et que ça coûte. On en prend même soin au bout de quelques jours à récolter la goutte dans un seau rouge lui-même protégé de barrières légères rouges et blanches. Et ils restent ainsi long. Et le long se le dit. J'y viens. Les fuites se déplacent régulièrement de quelques centimètres pour jouir de quelques instants hors du seau.

Tu es mon homme. Nous avons fait des rires si tu veux être prude. Tu as l'ami. En harmonie avec ce qui grandit dans ma tête. Il y a de la boue et c'est au dessus de ce qui court. Tu as juste un peu d'en marche. Je suis préparé des mâchoires pour le rire. Les règles sont, je suis ton homme. Et si le jeu pour aimer d'abord. Et quel est le jeu pour elle ? Et c'est de quoi ça marche. C'est juste de dire c'est en. Tu étais celui qui a grandi et c'est ce que le jeu pour l'aimer. Quand les états pour indépendance ça y va. C'est tellement ainsi. C'est tellement science. Ohhhh. Va au sol sur moi. Plus de course depuis mon esprit. Je suis juste en embrassant trop vite. J'embrasse trop vite. Je me lève de moi. Plus de courses, je dois perdre. Je dois trouver l'arbre. C'est ce que j'espère. C'est ce que j'attends. Plus de courses. Plus de courses. Je vois bien ce qu'il y a. Lumières hautes. Boules de feu. Bêtes dessus. Dans tes régions. Plus depuis que mon esprit est tout et de baisers trop rapides espérés. En courrant je butte. Mais je butte en vol. Je passe dessus. J'embrasse ce qui vient de dessus. Je suis le ciel et je suis le ciel. Je suis le vaste océan à ce qu'on dit. Gelé, il y a des sources. J'ai cru qu'on me disait ce que j'étais et j'ai cru. Elle est faisant les battements. Vraiment vraiment elle est un moustique gros de chat. Le gellot de soie perce un ciel noir petit giguelot. Laisse tomber et passe après. Ohhh debout dans le double noir. Dans la grande poitrine. Une chanson compliquée. Ordinaire. Pas besoin de comprendre. Assis et debout. Après toutes les choses que nous fumes. A travers. Tout ce à quoi je peux penser. Tout. Toi. Hummmm. Court court. dans la pluie. Va au signe. Dans la pluie avec. Met le bien. Laisse le au sol. Laisse le à terre. Il y a une maman. Qui est courant dans ma tête ? Elle a pris mes yeux. Et la blague de peur. Comme un jeûne de la peur. Nous sommes maintenant en bougeant, et la pluie. Laissons les choses. Rondes qui lui là dedans.
Je vois l'herbe et ses variétés et les vents et les verts et les bosquets. Des unités par-ci par-là. Des amas. Des conglomérats. Je les possède en les voyant. C'est un bon garçon.

Tu vas tourner l'homme en noir. Qui pourrait comprendre. Tu vas me donner une attaque du cœur. Nous pourrions perdre du temps. Qui pourrait comprendre. Tu ne mènes jamais un ami. C'est en construction.
Ça gratte les coins cachés. Ça se pose même juste à côté quitte à te frapper le genoux et à te parler avant 7h. Il n'y a que 2 personnes avant 6h35. Prendrais-tu mon amour. Tu dutu dam dam. Ta dadada Da Da Da. Tatadadada ta Da dadadada ta Da dadadada. ta Da dadadada ta Da dadadada ta Da dadadada ta Da dadadada ta Da dadadada ta Da dadadada ta Da dadadada ta Da dadadada ta Da dadadada ta Da dadadadata Da dadadada ta Da dadadadata Da dadadada ta Da dadadada ta Da dadadada ta Da dadadada ta Da dadadada ta Da dadadada ta Da dadadada ta Da dadadada. Pa ba wawawawa pa ba wawawawa. Pa ba tadadada.
Tu as noté que des huiles essentielles ne coulaient pas seules mais qu'il fallait les activer, les provoquer en y allant aux bons endroits, aux bons moments, aux bonnes personnes. C'est sans danger. Ce qu'on dit. D'autres menacent de transformer la foule par les mêmes en chiens vicieux comme en chaton attentiste. Tomber dans ma maison. Tombant sur la cloche, quelqu'un me veut le mal la nuit. Il y a l'appel. C'est un mauvais qui chute quand les pièces sont pleines.
J'étais enfin les yeux fermés parmi les autres corps prêts à l'emploi. Prêt à le faire. À en découdre même sans intelligence construite. Ça passe par le réseau neuronal diffus. Je m'en doute. Mais la concentration des corps n'est pas bien là. Le refus de. (?). Je bouge pour te bouger. Je bouge pour te bouger. Je bouge pour te bouger. Je bouge pour te bouger. Je bouge pour te bouger. Je bouge pour te bouger. Je bouge pour te bouger. Je bouge pour te bouger. Je bouge pour te bouger. Je bouge pour te bouger. Je bouge pour te bouger.

Il lui aura fallu longtemps à savoir en parler. Les sons plus courts des frondaisons ont montré qui étaient les vrais amis. J'y pense aussi à savoir les classer en groupes connus. Les vrais. Les connus. Les familiaux. Les attristés. Les longues dates. Les nouveaux. Ils m'y attendent. Je ne sais pas pour quoi y faire. C'est une drôle d'odeur qui court autour des genoux. Le monde sort quelques organes à la vue.
J'y suis nu pour perdre mon temps. Il fit qu'il faut faire des efforts. Je dis que je jouis de pendre tranquillement. Une succession de brèves excitations. Trois points de miel. Elle s'en sort en revulsant les yeux. Elle dit qu'il faut qu'il l'entraîne. Je ne veux. Je respire des effluves de sels. Je suce de bouche pincée. Il dit que pour rentrer chez lui il doit prendre la bagnole. Elle dit qu'elle n'a jamais dit ça.

Il y a un rêve qui est en fait une prophétie que sans doute jamais je ne vivrai. C'est la vue d'un autre que j'ai eu un instant mais qui avec moi partageait bien des choses. C'est une ville, un étonnement, un regard sur la carte. Le pays a changé c'est tout à fait normal. Les cartes sont obsolètes en quelques décénies. Je commence du très proche et m'elpigne enfin pour comprendre mon étonnement.

Dans ce coin. Petit coin dans le fond où je m'y glisse à laisser la fâmie. À la bonne saison j'aime regarder les coupes. J'aimerais bien souvent avoir le regard d'un maître coiffeur à oser de mon haut n'y voir que des coupes. Des amas organisés sans chairs. De pures volumes lévitant.
Tu vas arrêter le matin et le soir. Je vais signaler de te signaler. Atttention alors attention. Pince-moi que je meure. Dans les duels de maison que la pire aspiration me donne la vie des compagnons. Ouaih. Tu l'as dit, a-t-il dit. "Le zimac au sumac tu adores les sémaphores". C'est une question d'épaules et d'orientation des pieds. De se mettre du bon côté pour ne pas se faire écraser et se laisser encore l'oportunité d'une tangente. Et puis former un angle obtu qui fixe la posture dans un plateau pour la besace ou le divertissement. La posture est souvent doublement bloquée par le croisement des bras qui s'enserrent l'un l'autre mais prêts à attaper le sac.

Les déçus se font les tresses des derniers poils repoussés. Les décisions ne prennnent pas la porte deux fois. Enfin je suis prêt à prendre les rideaux. Comment je pourrai te trouver. Quand j'irai là-bas, y seras-tu ? Je relève la trousse qui lure. Les grottes sont ainsi pesées qu'elles agitent les baguettes. Quand personne, personne. Me manqueras-tu? Il y a les absences. Les routes de la nuit et les saisons qui peuvent te blesser. Les troupeaux endormis te frémissent les trousses. Qui rient les rythmes nus des merdes d'un jeu devenu sérieux.
Seulement pour toi. Dans les ruisseaux, les bains rares des nues plantées dans une eau claire de fête. Le peu de fond des pierres qui usent les doigts sont les matériaux de prédilection pour le temps à passer de ce qui est dit "peuple de Bâtisseurs". Tu joins le peu de sang avec les chlorophylles des petites turgescences. Les rêves brulent le temps pour toujours. Tu dépenses ma perte encore et toujours. Et tous les jours. Tu es le sang d'une machine qui me répète. Je lis les lumières profondes des choses faites ainsi qu'elles tiennent bon les ancres des nerfs durs. Tu rythmes encore les courses qui te regardent. Tu es la course même. Je lis le père de astres. Tu sens le gibier puissant de salaison. La viande est mise au soleil avant de cuire pour la bruler et l'abîmer de sale puanteur. La mal vue et les rires pauvres colorés me sautent aux joues. Quelle affaire lui met dans la mise de fleurir en vol. J'appuie et cela éclate. Je rougis de voir les motifs tourner. Je durcis de penser à mon nez de pénétrance. C'est du bleu en spirale en rails à une voix. Au-dessous les mêmes formes en rouge d'aouta écrasé. Je bave pour retrouver l'acide des pensées de la bride éveillée. Je fuis les créants avant même de le dematerialiser dans les fuites des miels. Je dis merci enfin.

Ce n'est pas ce n'est. Ce ne sont pas ce ne sont. Ils ont la chair attachée aux oiseaux. Je découvre le cramoisi ici. C'est la machine c'est ce qu'elle pleure. C'est un film qui est né dans mon ordinateur en faisant croire à une révolution. La prise de pouvoir romp avec l'engouement pour decevoir les tirs les plus précis.

Ce ne peut être cela qui le laisse. Tu prends les cliques des saisies de léopards impressionnés. Tu gardes gros les pieds serrés que tu mets en chausses. Tu mélanges en une surface le Leopard, le zèbre, le serpent et la brume sombre. Que me dis-tu pour mon demain ?
Tu refuses le pari? Tu souffles les pluies? Tu veux prendre le même ? Tu désires les étoiles ? Tu erres dans les compagnies étrangères ? Tu produits de nouvelles fréquences ? Tu enregistres les voix des airs ? Tu fais de longs "aaaa" pour essayer de saisir une essence rare ? Tu laisses de côté l'or sans raison ? Ok
Parfois la beauté ne compte plus. Il n'y a que des impressions. Mais c'est autre chose. Il y a autre chose. Il y a ce que tu n'est pas ce qui n'est pas ce qui de cela.
Je dois y penser pour écrire un peu plus. Je dois les roule

Tu vois les autres. De leurs regards que tu voies. Les courage de l'ivresse, l'innocence et l'optimisme réaliste. Tu parles de ce que tu dis que tu sais que tu penses à peine être vrai qui provoque pour faire plus que proposer.
Tu sais que la proposition peut ne pas suffir. Il y a des carottes qui manquent. De cette raison je redis l'inconvenance. Tu habites la ville d'un autre dans une chambre d'autre. Tu as pour habit l'habit d'un autre et tu n'es jamais aussi bien que dans ce pli d'inconnu. Tu penses au sur-mesure pour certaines choses qui doivent rester rares. Tout n'est pas assez haut assez grand assez fin assez chaud assez large assez ouvert assez ajusté assez sobre assez coloré assez assaisonné assez loin. Tu vis dans les vies des autres des expériences dépassées. Elles ont assez de jeu elles sont asse lointaines pour ne pas être habituelles. Ils faut une génération. Le cycle constant. Retour de refoulé. Si le jeu est suffisant, tu joues. Sinon, tu coules tu serres tu es en malanpia tu es séquestré. Tu habites les villes en P. Une erreur dans la personne. Pas de personnalisation. Tout est donc encore à faire qui nous occupe. Qui nous redonne le syndrome de la prise électrique. Une prise mal placée trop à gauche trop loin de la table jusqu'au changement de paysage qui inversera les désirs de position. Je donne en représentation ce soir les expériences d'un autre. Je vien dans votre cuisine avec de la compagnie pour jouer avec votre feu ouvrir vos placards et sentir le tiroir à épices.

Il faut arrêter tout. Tout de suite. Des épées de crânes pleurnicheurs nous diront les futurs que seuls quelques uns souhaitent encore. D'autres ne le souhaitent pas encore. Cela dépend des films qu'ils auront vu et des personnes avec lesquelles ils les auront partagé. Il faut arracher les bouts des affiches, courrir après les demandeurs, tirer sur les fils qui dépassent, se tourner vers les inconnus, accepter que l'accordeon joue mal si on ne le paye pas, qu'il joue sa vraie musique, celle qu'il joue pour lui. Trouver l'ennui sans le tromper, passer la cuisse sous la main, se baisser pour se faire prendre d'en haut. En neutralisant les bonnes connexions, celles qui servent au goût des formes, chanter par dessus les airs d'autres mélodies incorrectes et injustes, écouter les yaourts étrangers de sa propre langue, demander à l'inconnu de vous chanter la chanson que vous aimez par cœur dans votre langue maternelle s'il ne la connait pas. Il faut jouer sans savoir jouer, répondre que c'est difficile en ce moment, se forcer à boire l'eau de la gourde pour ne pas jetter l'eau, continuer pour continuer.



Acte 10.

C'est ok, ça recommence. C'est un coup où tu buttes sur le défaut bien affûté, raffiné. C'est imbattable, c'est indélicat. Le corps en est sage de ses mots qui le désignent.
Je suis donc assis dans l'autre pièce et tu es là à côté de moi.
Tu dis qui est là quand la nuit vient à moi.
Je suis qui est sot de deux jour de ses mots.
Tu laisses à prendre pour sommer les vierges sottes.
Je ne penses qu'à couvert de retrouver les jets de tes pierres.
Tu le dis tu le suis. Tu dis bien le gré de voir que demain fera du bien de rentrer à la douche chaude. C'est que cela fait des changements.
Je tirerai les rideaux pour toi. Tu as si peu de ... Que l'on ...

On peut parler tout bas à la porte de la ville pour que tout n'y fasse que les mois.
On peut y voir les rayures répéter les errances. J'y songe à aller loin devant. Je marche devant, j'ai perdu le groupe.

Tu joues ?

C'est une histoire d'atomes. Quelque chose de fondamental. Ça a un rapport avec l'univers et le feu. Ça s'effondre. Ça tombe comme ça coulait déjà il y a bien longtemps.
Le prochain, dans une minute, le suivant dans quatre mois.
Mais les temps sont autres. Indéfinis. Changeant ce que l'élan romantique faisait de la respiration, mettant dans le souffle quelque chose du sacré, il est une disponibilité d'élan de volonté qui se fait par les nuages et d'inspirer maintenant que vient la mort. Les stylos servent les nerfs à cliquer l' idiorythmie. Tu bats ce rythme qui nous sert le dérangement. Vous voulez acheter un stylo noir rouge vert bleu. S'il vous plait aidez-moi acheter le stylo pour ma famille. Tu le bats de syncope. Tu fais l'improvisation de pulpe et d'ongle s'il vous plait. Tu hérisses le jazz à l'agacement d'un petit bruit qui joue le temps. Qui tente le rythme de soi. Qui quitte le cœur et la montre.
La misère est cachée que nous.

Cessons de ne pas mourir pour assagir les faux. Ils se reconnaissent sans peine. Et si l'on relit bien tout cela on découvre le fil et la figure et la mathématique appliquée au verbe coulant. Une rivière au lieu de la diarrhée. Plus proche de la nature ? Réellement ? Lequel ? Pour y trouver une plus douce poésie. Menteuse. Une poesie de regard loin de la ville. Menteuse. Les sons y sont plus complexes. C'est faux. Tu vois ce que tu vois et plus que de ne pas regarder ou écouter la même chose, tu y vois et entends autrement. Tu uses de subterfuges pour le faire avouer une acalmie. Tu me fais parler pour que cela presse la cire et en tirer le jus. En tirer l'essence oui qui reste figée sans être activée. Tu fais couler pour en tirer ensuite quelques pepites ou bien quelques watt. Cela dépend des outils, tamis ou barrage. Tout se décide ensuite.

Tu expies en espérance. Les crapauds de chaleur sortent des buches neuves. Les respiration hâtives des pleureuses me démontrent les envies de béquilles et les jongleurs usent de la matraque. Tu sais qu'il n'y a plus à faire que des jeux de calculs idiots sur des papiers mauvais aux encres lâches. Tu lis les coupures des mains des autres bonhommes. Les crayons usagés disparaissent. Depuis combien de temps n'en ai-je pas vu la pointe ? C'est la parure qui la domine de loin. La pointe est émoussée au point de la coline. Les jeux de coffrets font à outrance le décors des plus brillants maîtres et des plus vulgaires multiplicateurs. Les noms des personnes se retrouvent mis en forme de caligrammes anciens pastichés à contenter les ivres personnage qui croient y voir bouger une petite âmes. Tu descends. Tu descends de là pour monter autre. Tu inspecter les pieds chaussés de sandales surdimensionnées de coques et de sangles rembourrées qui réduisent le pied à hauteur du collier diamanté.
Tous les noms propres sont évités. Depuis le début c'est comme ça. C'es un moule de moule de moule. Pas la pâte pas les ingrédients. Tu es la personne que tu veux. Tu changes l'accent de ta voix et la forme de ton écriture et ça t'enchante avant de t'écœurer. Tu n'aimes plus que les terminus et les espoirs d'esperanto. Le devenir univoque de l'interprété texte du sagouin. Tu as le sac sur le dos qui te dis que c'est un rêve dans un rêve dans un rêve dans un rêve dans un rêve et tu espères ainsi en finir avec le costume. Tu dis que c'est le dernier habit, qu'après cela il n'y en aura plus. Qu'il faut en profiter. Tu espères que c'est fini, qu'on en reparlera plus. Que la question "trouver de l'eau potable" est réglée. Que le problème "s'habiller" est clos. Que l'histoire de l'emballage est achevé. Passons à autre chose, lisons les dernières lignes. Après cela il n'y en aura plus. Tu dis que c'est un beau sacrifice. "c'est un beau sacrifice".

Mes pièces jointes de mes deux mains je sais que tu ne peux pas dire ça. J'esperais que c'était juste ça. J'attends. Ça va arriver. Tu penses que c'est l'ambiance. Il faut voilà au début. J'ai dit oui. Comme tu dis. Mais là on ne m'autorise pas. Il faut faire attention à ce qu'on fait. Car c'est avec plaisir. Il y a CA et RH et V et J que je lis dans les tableaux qui font peut être quelque chose après avec du recul que ça reste une référence. Je sais. Je ne me plainds pas. Je vois bien le problème. Le problème est un problème d'usage et de sécurité. Enfin je sens les tonalités hirsutes surgir à nouveau.
Les chausses rouges de Saison. C'est important. Et enfin ça amène à tout revoir. À tout redistribuer. Il y a les uns qui se disent que ça a trait à de la pure ingénerie. Ce sont des syllabes cadencées de stucs ou plastique salis.
J'ai organisé des choses. J'ai forcé les interprétation. J'ai choisi deux lunes tant qu'à faire. Je me mets à espérer la comète. Je prends le pied bien haut. Je tripote le sac de nylon noir. Je fixe le siège vide. Je baisse le pantalon. Je cache les yeux aliens des obstacles de passage. Je ne regarde plus les bougies comme avant. C'est bien plus grave que ça. Ça ne fait plus peur à personne. Ça se pince toujours dans les plus faibles fêlures. Je subis les inconforts des ruses. Je pense aux sucres qui se font pomper tant que ce n'est pas du miel dans le cœur. Je pousse les tubes des nus des foules. À 100 tout se joue. Je sens la nuque derrière. Je sens le shampoing et la fille qui dit "dernière" dans un combiné. Hé rissa dru !

Personne n'est au courant donc personne ne parle. On dit ça donc on dit ça. C'est tout. En même temps si ça date de ce moment là. Si c'était maintenant ce serait différent. À toi de voir.

Il me dit absolument ce que tous veulent entendre mais que beaucoup n'écouteraient pas. Que les virtualités ne marquent pas la puissance imprévisible d'un aboutissement liquide des océans futurs. Mais que les puissances sont en présence de lire les infinis dans l'assiette du lit. Cesser les infants de chercher l'horizon ou briser les murs qui cloisonnent les yeux à des œillades monstres. Il dit des siestes que les acalmie tordent. Les chaussures manquent en ce moment de ne pas réussir esseulement. Foutré des miels jeunes ils ont dit que les cils ne protègent qu'à mi-mot.

Il n'y a plus à savoir en cet instant si c'est là que ça doit être. Ou bien c'est pour le lendemain. Mais non. Ce n'est pas pour ça. Il faut en changer. C'est essentiel. C'est mauvais. Ça ne se fait pas correctement. Ça pince quand ça se refuse aux sensations. Je ne pourrai jamais en faire de la pluie d'autre chose. Ce doit être fait là. J'ai saisi. Mais en fait de mais. Sinon que ceci ne peut pourtant pas. Donc. Il y a le clocher et la compagnie bovine. Les yeux trop crus. C'est inapte. Alors ce sera pour le lendemain. Plus personne ne sais. Alors que c'est très important. Essentiel. Mais l'évidence n'arrive jamais et la solution change à chaque fois. Nous parlons dans des tubes. Nous n'entendons plus grand chose. Je ne sais pas ce que cela donne aujourd'hui. Copain copine dans la veste en jupe en cuir avec des œillets et des trous et des découpes. Être d'une campagne étrangère pour aller dans la capitale de son propre. C'est vague et envahissant. Un savoir-faire brutal. Un art barbarement mis en œuvre. Je suce le sang et provoque les sons que j'entends. Les auteurs de ce que je vois ne sont pas multiples. C'est assez simple. On danse au-dessus des flammes quand tu veux. C'est maintenant pourquoi pas. Et pourquoi pas. À enregistrer tout le fourbi des agitations secrètes ou avérées. Que fais-tu? Les tuyaux encore détournés parceque ce sont de meilleurs instruments que des symboles de la possibilité moderne. Tu veux le souffle profond et les cris résonnants. Les sistres des pures. Tu y vas bien à oser la surveillance du chasseur quand tu dois glisser dans l'activité accompagnante de la pente qui te porte à lécher ce qui passe activement dirigée.
Elles disent "proximité", "intimité", "complexe", "mise en valeur", "c'est pas facile ça", "nudité", "pulpeuses", "elle est comme ça et pas comme ça", "envie de pleurer", "il y a une tension", "dans le métier il y en a beaucoup", "entre guillemet", "ce que je veux dire", "tu as cette tranquilité d'esprit", "c'est atroce".
Nous pouvons tous le faire.
Nous pouvons tous le faire.
Nous pouvons tous le faire.
Nous pouvons tous le faire.
Nous pouvons tous le faire.
Tu pourrais être mon intention.
Nous pouvons tous le faire.
Nous pouvons tous le faire.
Nous pouvons tous le faire.
Ce que je veux, ce dont j'ai besoin.
Me voici.

Et les maudits disent:"une machine, une queue". Ils pensent qu'autrement la civilisation ne s'en sortira pas. Ils ne conçoivent pas le partage machinique, trois machines, une queue. Une arithmétique qui demande de voir plus loin que le chiffre.

Chère chair. Je te lèche à l'envie. Accrocheuse de lumière, étendue de champ doré aux abords s'isoler bien carrossées. Je lèche la tôle de tes soucis. Tout le rose de la journée se déverse maintenant. Le jour est gris, le soir empourpré. Les lèvres sont là qui se viennent. Des arbustes de région faible. Prends les clames au loin. Ce sont les flammes de tes mains. Dans les esprits de la saison on peut connaitre le vrai jaune. Les tendons des cous nus se tendent par eux-mêmes dans des secousses rythmées tant qu'elles dégagent l'arc-en-ciel sur la gauche. Il jour dans un autre lieu. Dis que tu sais comment l'arrêter. Ça me dira comment je dois continuer. Les micro-pluviosités de sa joue en irise l'essence. Maintenant l'odeur de la nuque est légère. Elle pourrait être neuve de sa sève. Tu enfonces le doigt dans cette terre prometteuse mais sais-tu au moins ce que tu y vas planter ? Je pousse les stations en pointant les temps de frustration. Est-ce bon le moment. Ai-je bien commis le crime. À raison. Je n'ai plus rien à craindre de ce qu'il n'y a plus rien à défendre. Tu dis : - Où est le docteur ?

  • Tu sais que je ne sais rien.
  • Comment feras-tu en une vacance ?
  • C'est un lieu de solitude qui brille à travers la brouille que l'on jette bien loin.
  • Vacances chère chair.
  • Pourquoi est-ce que hé gâcherais la vie dans un lieu si saint ?
  • Tu sais la gigue, j'en suis certain.
  • Je t'appelle dans le saint jour. Seulement le saint. Simplement. Facile seul chemin.
  • Tu tongues de diladiladilada.
  • Dingdi dông dida. Dississada lalidadidaddida. Tu jettes un œil.
  • wasiwalidalila wasiwalidalila
  • Ce n'est pas ta faute. C'est ça le manque flagrant.
  • Comment peux-tu vivre dans l'espace incomode. J'essaye de te sauver de la boue qui presse. J'essaye de résoudre les étapes. Tout en douceur. Finement. Comment fais-tu les seuls affinités. Prends uniquement les vices comme s'ils étaient miens. Si tu fais ça bas. C'est d'accord. Avant que tu n'aies le même bonne nuit. Fin des vices et montée spiralées dynamiques. Quel était ton tour quand je t'aimais. Je détestais les souffrances brisées comme une fin de règne qui déploie enfin les terreaux de peine.
    Hantise. Prends les bras doux.
    Mais c'est toujours.
    Mais c'est le fer.
    Mais c'est le vol.
    Peine. Peine. Peine. Haine haine haine.
    Avant que tu n'accueilles les fines.

C'est le moment encore de nous laisser, ami.
C'est le temps toujours, d'oublier les ratés.
Sois mon amour à nouveau.
C'est le temps de trouver l'Homme.
Il était en attente. Il était en attente.
C'est comme de rire de ruer et de crier.
C'est le temps encore de panser les maux.
C'est le temps toujours de quitter le bateau.
Cache temps. Cache temps. Il est trop tard pour retrouver ceux que tu as brûlé.
Les paiements étaient noirs et vides.
C'est tout ce qui n'est pas dit.
C'est tout ce qu'on ne dit pas.
C'est tout ce qui n'est pas dit.
C'est tout ce que je ne dis pas.

Alors "dans le sang je veux m'épuiser", tu le dis.
J'ignore rapide avec succès. Je danse à raison des pas légers puis frénétiques.
C'est le jour de fête. Que nous disent les oracles.
Ça commence à sentir l'horizon.
Ça sonne quand tu dis non.
Je tête les laits des jeunes mères âpres et puis de sucre.

J'essaye de dormir cette nuit à côté de tes cadavres. Mais plus je suis pris d'insomnie et je me rends compte que ce sont les miens. Je veux simplement avoir le sommeil qui ne connait pas l'attention. Le mot est "détermination". De quoi dis-tu. Sot lambeaux. Les horizons que tu as respirés en font de plus limpides raisons. Un saut de côté aura suffi tu verras tant qu'un n'est pas trop tard.



Acte 11.

Rapidement sous les figuiers arbres des longs souvenirs. Je grimpe en chevauchant les branches en bond souvenir. Et allant de cassants ils sont un peu trop dupes des sèves épaisses des ruptures continues mais progressives.
Allons long. De ces branches sans difficultés. Du bras long que l'on dit j'y attrape les chaînes de fruits ouverts en gueules que tu ne connais pas. Haut haut haut de long le bras. À terre trop basse les fraises ne sont pas pour moi. Je le sais car on me l'a dit. Mais je tente. Je baisse la nuit au sol des terrassements effectuables.

Tu as la raison des pures même dans les recoins salis bien cachés. Tu es en inconnue de laisser des petites apparitions de sommets de-ce de-là. En un son altéré dans un canal de tubes gros et épais. Tu ne veux pas en possession. De jouir en connaissance. Du comment as-tu pu. De ce que je ne su. Il fut à fuir en carpe de mollesse. À la patte mal repartir dure de l'os à poils. Je n'ai pas un futur dont il me suffit de penser l'existence d'une photocopie suffisante. À le répéter on ne le sais plus assez que d'en faire un dogme sans plus y penser une sagesse de l'action. J'en ferai une éthique de la photocopie. Qui n'est un duplicata sans original sans oublier la faible qualité les marques de l'instant de l'archive qui ne sera peut-être même pas lu mais là pour rendre un possible. Je ne m'en fais pas donc malgré. Une première dans la grande histoire de la valeur. Rien n'en perd de sa pertinence. Quelle génération de copie m'en fais-tu ?

Cela fait tellement longtemps que j'ai l'envie d'être un papillon. Je suis urbain qui feront que certification, je crois. Est-ce que tu écoutes encore ces musiques dans les jambes ? Est-ce que cela est douloureux ? Est-ce que cela dort dans les plis ? Es-tu dans l'heure oubliée ?

À le voici un temps plus long des rires que j'entends qui sont de femmes et de sifflements. Les deux mignons qui en savent long. Ils ne forcent jamais le pas d'y engouffrer le poing. Il n'a pas su. Il n'a pas du. Il porte le dispositif loin de ne pas élever les bons mots, les bonnes images, les bons tons, qui se présentent cependant à saturation. Les sons produits manquent de l'avenir qu'ils ont oublié de créer. À la laisse des cuissards. Il a oublié de penser au futur. Il a perdu l'habitude des pièces qui n'existent encore que dans la texture des songes. La petite me regarde aux yeux tristes et cernés tenant fermement l'identité de son père. Oh oui !

Nous nous retrouvons à des fièvres bienheureuses à des désirs de frissons légers de chaleurs. Assis en délassement en profitant des pesanteurs. À penser la couverture lourde. À penser comme il est question que cela s'enfonce, que cela creuse profond. Que ce soit bien profond pour y trouver là la source. Y creuser une fois pour toute. Et y plonger long. Un temps de chute brutale, rapide et claire. Une chute dans le trou qui le creuse un bien de plus. Si nous écoutons, l'oreille s'est enfuie. Nous allons tous en corps qui pèse en profondeur. En bas là. Ça soutien bien. Tout le temps. C'est toujours comme ça. Les enfants au sable en sont tout à fait. De flottement un autre moment. Les accroches trouvent un vol dans le poids bien fort. Rien ne peux prendre par-dessus toi. Les bougies laissées. Regarde.

Elle était tout à fait là à coller des gommettes durant les trajets longs suffisant pour l'installation, jouant de couleurs en les déplaçant assidûment.

Nous étions sur une plage amusés d'un temps morne qui en haut de la butte près d'un béton blanc élevé a permis à une bête de sortir du trou.
Elle s'est dégagée devant moi quand tu étais de côté à tendre vers le mur blanc se montrant profil avant de faire face. L'enveloppe d'écailles larges au plus fort d'une main était verte et profonde. Une teinte variée allant à l'orangé et encore au rouge. La tête était fine jusqu'à une truffe fine mais courte. Les yeux petits me disaient une lente puissance calme. Des écailles près de la bouche suggéraient un peu plus les habitudes carnivores comme nous le savions de la bête. Depuis le museau jusqu'aux membres inférieurs maintenant émergés, le diamètre de son corps ovale augmentait. La pesanteur de la bête était simplement perceptible et sa tranquillité ajoutée à sa posture me faisait l'apparence d'un grand chien aux poils rétrogradés. Tu m'as rejoint alors. Nous l'avons regardé lever la tête de plus en plus haut levant les pattes avant et révélant le ventre aux écailles plus petites vers un brun clair onctueux.
Tu m'as dit que ce n'est rien mais j'ai dit qu'il mange de la viande et que son corps de son long coup peut contenir des membres dans un confort de digestion lente. Nous avons alors du tourner le dos à la bête qui dans le silence tenu nous tenait de bien du respect. J'ai dis encore une fois "carnivore". Tu as dit "petites proies". J'ai dit "son cou".

La plage large et la mer loin que nous n'entendions pas, un espace dessiné par des poteaux de bétons salopés en sel une toiture quelconque sans importance que son existence pour l'ombre donnée à la scène d'hommes en chemises de couleurs vives les cheveux noirs jouant à courte distance de pistolets vicieux et absurdes aux balles ridicules au son d'une claque à l'effet d'une piqure déplacée. Ils bougeaient vifs et courant sueurs. Ils nous on pris dans le jeu quand ils nous ont vu là passant de souffle. Et nous avons été piqués. Un seul à la chemise orange nous amusait quand les autres joueurs poursuivaient entre les poteaux un cache-cache viril. Leur aire de jeu petite que nous avons quitté de vue en tombant et piqués au cul.

Pris sans surprise dans une bataille qui n'est pas la tienne. En pays de chaleur et d'eau et de terre rouge. En village ancien de terre arrondie toute érodée des eaux continues des poissons qui y ont traversé. Des gouttes faisantes. D'y être avant en paillasse qui vous saisie de sommeil qui donne des repos que d'autres insistent même pour vous les proposer. Vous y êtes à vous rejoindre au bord d'une forêt timide. Et vous savourez que dans les à côtés, il y ait les sons du travail. Les maisons en contre bas que vous regarder sans y aller. Et puis la première bataille au bord des murailles à hésiter sur la marche à suivre à voir d'un coup venir du haut de la route les troupes montées et casquées aux flèches mauvaises.

La baignade suit de peu de ces hommes groupés à la plage étroite à l'ocreur douce à l'eau claire. Les élans les bousculent en eaux folles un petit drap blanc autour. Les mousses et les poissons. On y pêche. On ramasse grand. Et puis on de positionne pour une seconde bataille long de la muraille collés aux meurtrières. Tu te souviens d'avoir mené de jeunes élèves dans des batailles forestières et clairières vertes dans des lieux où beaucoup étaient tombés en apprenant de l'un des organisateurs que les preux étaient dédommagés de 700. Ils ont tenu l'arc et lâchés la flèche en excitations naïves.
Mais alors tu te fais inviter après la victoire amère à voir le poisson qui est passé sous terre des nageoires coupées avec les autres excroissances. Les gestes à la faible lumière exercés par des femmes mères plusieurs fois dramatiques dans la grotte. Ainsi. Puis dans un restaurant auberge bistro brasserie snack étrange et pauvre et en contre bas de la muraille tu y goute seule cliente les pommes de terres accomodées de milles façons.

Elle dit : “Je vois des choses incroyables qu'il faut absolument que je te raconte. J'entends des idées de vocation folle que je m'amuse à te transmettre. Et puis je rencontre celui qui me dit en un trait : " Il faut dans soi, dans ce, plutôt que dans l'éclaté, fractionné, pris dans lui, ce qui offre trop d'excuses. Prendre et en supporter les conséquences, et cela est sans désespoir, une exubérance de vie. Les actions font une différence, on décide toujours. Le langage vient de la frustration d'expliquer n'est-ce pas ?
La production de l'Humain II est en cours, centré sur l'individu et ses besoins et ses désirs, une nouvelle conscience, qui n'en fait plus un objet effectuant, passif. L'Intelligence II, complexe, reforme un autre collectif, une nouvelle évolution anthropologique, afin de correspondre à l'évolution culturelle active. La vitesse de l'évolution s'accélère, les connaissances s'accumulent en un crescendo, vers une croissance et une réalisation de l'individu instantanée, par une multiplication des existences individuelles, parallèles, temporaires, illimitées dans le temps et l'espace. Les anciennes valeurs de l'évolution lente et froide seraient dépassées. Mais nous sommes tous sans arrêt attirés par la destruction, le chaos, pour s'en délecter, et pour conserver l'impression que quelque arrive."
Et je me tourne pour entendre : "Parfois je regarde ma vie en supposant tes yeux. Je pense alors que je change mon action comme je change de public, tes yeux me poussent alors à l'exigence de la justesse de mon action libre dans l'existence. Tu travailles la projection et les regrets sans dire oui au continu. C'est à vrai dire lorsque nous lui disons oui au même moment que nous sommes totalement nous-même en tant qu'existence libre et responsable. Cette affirmation initiale et primordiale nous emporte dans une chaîne d'affirmations sans limite. Dire oui à l'instant, c'est dire oui à toute l'existence. Et c'est en cela que j'aime les plantes et la nature, à toute existence réelle ou rêvée. Et les évolutions et les échelles de temps, le télescopage temporel."“

Mais seulement mais maintenant que nous dérivons aux supports assistés aux pouces qui palpitent de réflexes mal assurés, j'en viens à pavoiser de ces lieux en abandons. On prends les cibles dans les poutres de saison.

Réservation à incantations. Vous avez oublié d'avoir peur. Vous auriez eu raison. Un dilemme inabouti a poursuivi le chemin des 53 livres actuellement appelé en affaire inachevée. Le problème n'est plus derrière le masque qui recouvre un autre masque et un autre. Le problème c'est de regarder le masque comme un problème. C'est le complexe du petit cailloux après celui du masque. Viendra ensuite le complexe de la cuticule. Arrosons

À tout craindre, autant préférer le bel orange que tu m'as raconté au retour d'une fréquentation. L'as-tu revu ? Pour quelque insistance interrompue ?
Les voici dedans dans le morne changement change des joyaux forcé et accélérés forcés en force de ta gorge que tu le payes. Nous sortons les mains plates aux mêmes instants quand je propose deux doigts en signe de ciseaux et toi un poing en signe de pierre et tu gagnes.

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